RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

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BRIAND
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RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par BRIAND »

Recherche médecins désespérément... au mois d’août

Mise en ligne : 16 juillet 2012

Trouver un médecin pendant l’été semble parfois relever du parcours du combattant. À période exceptionnelle, situation exceptionnelle. Mais cette «  pénurie estivale  » ne fait que révéler de manière exacerbée le problème plus que préoccupant de «  démographie médicale  » qui sévit toute l’année.


Avec terreur, Isabelle se souvient d’un ­week-end de pont à Marseille. Souffrant d’une douleur très forte dans le ventre, elle consulte le journal pour trouver un généraliste… Ce week-end d’été-là, dans la ­deuxième plus grande ville de France, quatre médecins seulement sont de garde. «  Aucun dans mon arrondissement, le VIIe. Après de multiples tentatives, j’ai réussi à parler à l’un d’entre eux, une femme totalement débordée. Je ne dépendais pas de son secteur. Elle m’a renvoyée vers les urgences.  » Aux urgences de l’hôpital de la Timone, il ­y a foule. Vraies urgences ­côtoient petits bobos… La panique est indescriptible. «  Deux pauvres internes tentent vaille que vaille de gérer la pénurie… Ma douleur ne cesse d’augmenter.  » Plusieurs heures d’attente et une échographie plus tard, le diagnostic tombe  : colique néphrétique. «  Depuis cette histoire, je suis en panique à l’approche des vacances, et plus encore quand je vais dans un coin sans hôpital… En cas de crise, où trouver un médecin  ?  »

«  Moi aussi j’aimerais bien le savoir, s’interroge ­Gérard Aoustin, vice-président du conseil de l’ordre de Seine-Saint-Denis, en région parisienne. En trente ans, le nombre de médecins a augmenté de 90 %, mais sur le terrain, auprès des populations, dans la permanence des soins, ils se font de plus en plus rares.  » En Seine-Saint-Denis, le fait est établi. Il est presque impossible pour un généraliste d’espérer trouver un remplaçant pendant ses congés  : Khalid Iboussissen, médecin à La Courneuve, en témoigne  : «  Quand j’ai un candidat potentiel au bout du fil et que je prononce 9-3, c’est tout juste s’il ne me raccroche pas au nez.  »

Loin des banlieues difficiles, l’air de la campagne n’attire pas plus  : le Dr Pierre ­Jeannin, médecin généraliste à Mailly-le-Château, dans l’Yonne – le premier confrère est à 15 kilomètres –, le sait bien. «  Mes congés  ? Ce n’est pas moi qui décide des dates. C’est mon remplaçant, un médecin retraité qui habite Reims. J’ai la chance qu’il ait d’excellents amis dans la région. Il aime bien venir de temps en temps passer une quinzaine de jours dans le coin.  » Pourtant, les médecins remplaçants n’ont jamais été aussi nombreux. Leur nombre s’est accru de 9,1 % entre 2007 et 2010. Mais les chiffres sont trompeurs… Si, pendant des décennies, être remplaçant voulait dire prendre la relève d’un confrère pendant les vacances, aujourd’hui il s’agit plutôt d’un statut pérenne qui correspond à un nouveau mode d’exercice de la médecine. Il séduit une nouvelle génération de médecins dont un grand nombre de femmes, qui choisissent ainsi de «  travailler à la carte  ». Si on est remplaçant, on l’est dans son quartier, à mi-temps, deux jours par semaine, sur une longue durée. Avant 2003, le Code de déontologie médicale établissait le devoir pour chaque médecin généraliste de rester toujours accessible pour sa patientèle. Ce n’est plus le cas. Contrairement à ses confrères allemands, pour lesquels la permanence des soins [1] est une obligation, le médecin français n’est de garde que s’il est volontaire.

La chasse au remplaçant

«  Les jeunes médecins ne souhaitent plus travailler comme on l’a fait, témoigne Marc Dupont, ancien chef du service ­d’anesthésie de l’hôpital Saint-Joseph à Marseille et aujourd’hui à la retraite. Ma ­génération a consacré sa vie à son boulot… Peu de week-ends, peu de vacances. C’était comme ça. On ne se plaignait pas…  » Ponctuellement, il reprend du service dans des hôpitaux en mal, eux aussi, de remplaçants. «  De plus en plus de retraités font comme moi quelques semaines par an. La demande est si forte… Mais, bien sûr, ils préfèrent Bastia en été à Lunéville en janvier. A Arcachon, l’hôpital a mis une clause dans son contrat qui interdit aux salariés de prendre leurs vacances au mois d’août… Mais les médecins libéraux sont plus individualistes.  »

Sur Internet, les conseils pour trouver un remplaçant se multiplient  : bouche-à-oreille, liste de remplaçants potentiels auprès du conseil de l’ordre – à charge, pour le praticien, de prendre son téléphone pour les appeler un par un… Mais aussi sites de petites annonces, annuaires de remplaçants, et même agences qui cherchent la perle rare. Une fois qu’on en tient un, il s’agit de le fidéliser. «  C’est la loi de l’offre et de la demande, explique Etienne Guyon, médecin généraliste en Picardie. Avec 238 médecins seulement pour 100 000 habitants, c’est le département le plus sinistré en matière de démographie médicale  : lorsque j’ai commencé, on versait à notre remplaçant 66 % des honoraires, puis 70 %, et aujourd’hui 80 %.  » 85 % même pour Pierre Jeannin, qui laisse aussi à son remplaçant sa maison personnelle… «  En Seine-Saint-Denis, c’est 100 %, ­témoigne Gérard Aoustin. Et même avec une telle ­rémunération, on imagine bien que les candidats du mois d’août ne se bousculent pas.  »

Un modèle d’orientation des patients

Le département a donc tenté de s’organiser. «  Il fut une époque où les médecins étaient réquisitionnés sur injonction du préfet. On recevait une lettre au cabinet et il fallait obtempérer. Cela ne marchait pas. Certains médecins avaient toujours de bonnes raisons, familiales, de santé… pour ne pas participer aux gardes.  » Depuis quelques années, le conseil de l’ordre a mis en place un système de listes sur lesquelles les médecins s’inscrivent pendant les vacances. Ils y indiquent les périodes où ils sont présents. Transmise au 15, cette liste permet d’orienter les patients pour leur éviter d’avoir à appeler 20 cabinets avant qu’un médecin ne décroche. Sur les 1 200 médecins du département, la moitié s’inscrivent dans la liste  : «  On a mis en place une coordination qui ne marche pas trop mal. Il faut rester modeste. Par ­rapport à rien, c’est bien… Mais nous sommes loin de la perfection.  »

Présentée comme un modèle par Roselyne Bachelot lorsqu’elle était ministre de la ­Santé, l’organisation du 9-3, qui paraît pourtant aller de soi, a semble-t-il du mal à faire des petits dans d’autres départements français. La sacro-sainte liberté du médecin rend probablement impossible la seule mise en place de listes de congés. Mais en Seine-Saint-Denis, il est vrai que la question de la permanence des soins dépasse largement la période des vacances. «  Elle pose problème toute l’année  », déplore Gérard Aoustin. Cette pénurie de médecins a poussé le département à être pionnier dans la mise en place des maisons de garde. Il en existe 5 en Seine-Saint-Denis sur 238 en France. Elles jouent un rôle important dans la permanence des soins. «  Pour des raisons de sécurité, les généralistes du département ne souhaitent pas exercer le week-end dans leur cabinet. Nous mettons à leur disposition un local sécurisé, avec un vigile.  »

Tous les départements ne sont pas aussi bien dotés  : «  J’ai des patients de la région parisienne qui séjournent à Lacanau-Océan et qui, de retour chez eux, m’appellent la nuit ou le week-end… Ils savent qu’il y a toujours quelqu’un au cabinet. Pas la peine de vouloir parler à un médecin à Paris le week-end du 15 août  », explique le Dr Daniel Camiade. La station balnéaire de 4 000 âmes l’hiver voit sa population multipliée par 10 l’été… Huit médecins exercent dans un rayon de 40 kilomètres. «  Il va de soi que nous ne ­prenons pas nos vacances l’été. Nous travaillons jour, nuit et week-end, même l’hiver personne ne rechigne à faire des gardes.  » Une implication que les patients ne retrouvent pas forcément sur l’ensemble du territoire. «  Eviter de faire des gardes est ­devenu un sport national. A Lacanau et dans les villes environnantes, les médecins ont tous la soixantaine. Nous allons tous partir à la retraite en même temps… Nos ­successeurs seront-ils prêts à travailler quatre-vingts heures par semaine, le jour, la nuit et le week-end  ?  »
Anne-Marie Thomazeau

P.S.
Le réflexe 15
En cas de problème la nuit, le week-end ou durant les vacances, les Français ont de plus en plus tendance à se rendre directement aux urgences des hôpitaux… Résultat, des services bondés, des attentes interminables et, dans 80 % des cas, des «  urgences  » qui n’en sont pas. Ils n’ont pas le réflexe 15. Car la plupart d’entre eux pensent que le numéro des Samu ne doit être appelé qu’en cas d’urgence vitale. Et si, en effet, le 15 est capable d’intervenir avec l’envoi d’une unité de soins intensifs ou d’une ambulance pour une personne qui ne peut pas se déplacer, il a aussi comme mission d’assurer la permanence des soins et une régulation médicale. Son rôle est d’orienter chaque malade vers la prestation médicale que son état requiert dans des situations qui ne peuvent attendre la réouverture du cabinet du médecin généraliste (nuit, week-end, vacances). Cette prestation peut être soit une aide téléphonique, soit de les diriger vers un médecin généraliste en service, une maison ­de garde ou, éventuellement, les urgences, si le cas en relève.

[1] La permanence des soins désigne le dispositif sanitaire ­qui permet aux citoyens de recourir à un autre praticien lorsque le­ ­cabinet de leur médecin traitant a ­fermé ­ses portes.



Interview : «  Le médecin n’est pas un livreur de pizzas  »
Entretien avec le Dr André Desueur, président de la section "Exercice professionnel” du Conseil national de l’ordre des médecins.

Pas facile de trouver un médecin pendant les vacances  ?
Pendant ces périodes, nous devons faire face à deux types de situations. Il y a d’abord les lieux de villégiature, comme les stations balnéaires. Dans ces endroits touristiques, il est évident que les médecins prennent leurs vacances hors saison. Ils peuvent en outre bénéficier d’un assistant qui vient en renfort durant la période de pointe et dans les secteurs où il y a des besoins. C’est une disposition prévue par le Code de santé publique. Le médecin bénéficie d’une autorisation du conseil de l’ordre départemental. Ensuite, il y a les régions non touristiques. Les médecins ont l’obligation déontologique de s’entendre avec leurs confrères pour étaler leur départ. Et en général, cela fonctionne bien.

Et quand il n’y a pas de confrère  ?
Il est clair qu’il y a de grosses difficultés pour trouver des remplaçants. Ce n’est pas une nouveauté. Mais cela s’aggrave et cela va continuer. Dans les cas extrêmes, le conseil de l’ordre départemental peut saisir l’agence régionale de santé pour l’alerter sur les difficultés locales… Mais on ne peut pas inventer de remplaçants là où il n’y en a pas.

Faut-il augmenter le numerus clausus  ?
Ce n’est pas parce que nous aurons plus de médecins que ces derniers seront désireux d’exercer dans les secteurs où il y a des besoins.

Certaines municipalités rurales parlent de salarier des médecins… Est-ce une solution  ?
Dans certaines régions, comme le Morvan, qui sont des déserts médicaux, pourquoi pas  ? Mais ces médecins, il faudra aussi les remplacer pendant leurs vacances.

Alors quoi faire  ?
On ne va pas jouer aux caporaux-chefs en disant aux médecins  : «  Vous ne partez plus en vacances.  » Les Français vont devoir s’habituer à ne plus avoir un médecin au pied de leur immeuble. Avant, il y avait un médecin par village. Demain, il y aura peut-être quatre médecins regroupés dans un village pour couvrir huit villages. Pour aller à la poste, au supermarché, dans un cabinet de radiologie, les gens se déplacent. Ils devront apprendre à faire pareil avec leur visite chez le médecin, c’est-à-dire à planifier. Le médecin, ce n’est pas un livreur de pizzas.-


REMERCIEMENTS A VIVA POUR LEURS INFORMATIONS
BRIAND
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sergioses
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Re: RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par sergioses »

bonjour m briand comment sa va?? :oops: je ne sais plus si c'est sou jupe il me semble avec l’approbation des médecin il avait baisse le numerus clos us économie déjà, puis après +de femmes qui réussisse mieux au concours d'entre mais qui ne veule pas faire généraliste et les heures qui vont avec ,il veule 35h a l'hôpital, moi qui est ete souvent a l’hôpital on voyais certain docteur arrive a 7heures et repartir a 8/9 heures le soir et certain passais le dimanche matin, c'est vrai que les 35heure a l'hopital a fait beaucoup de Degas, alors oui faudrait former + de médecin qui on envie de soigner,un vocation,ily en a qui ayant très envie et ayant rate le concours vont en Roumanie je crois et qui conte revenir en France,c'est démoralisant :D pour ceux qui ont la vocation, j'ai ete au urgence pour ma femme un dimanche une jeune damme venais de la plage direct cherche un arrêt de travail le médecin luis a refuse, elle était pas contente,normal?????cordialement sergioses44 :roll:
BRIAND
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Re: RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par BRIAND »

Bonsoir Mr Sergioses
Merci de me demander des mes nouvelles.
C'est pas terrible comme on dit par chez nous.
Je ne t'oublie pas, et si Dieu le veut je débarque dans ton beau Pays de cyclo cross avant la fin de l'année et j'offre le restau.
Lundi je passe sur le billard sauf imprévu car c'est compliqué avec d'autres maladies....
Lundi dernier consultation anésthésiste personne dans les salles d'attente.....
Pour ce que tu as écrit je suis bien informé la-dessus.
Je n'ai pas osé mettre ce que j'ai reçu en juin, pour diverses raisons.
Dans mon quartier 2 dentistes et 2 ophtalmos en retraite pas de remplaçant
Concernant les cures, c'était à une réunion ou j'étais invité " sur la santé de demain..."
Tous les professeurs et rhumatos où j'ai été en consultation de puis 35 ans étaient contre.... et au début çà bardait.
J'ai même vu des malades retourner à l'hôpital en revenant. Ou est le bénéfice ? Pour le malade et la Sécu ?
A la demande de mon rhumato de l'époque , un PR était venu me voir en revenant, et m'avait peur .. J'en dis pas plus.
Mais comme m'a dit ce professeur en retraite on évolue....J'ai été invité à visiter le centre de cure spécialisé dans la PR
mais j'ai envoyé une collègue qui en dit que du bien, mais nous sommes si différents.
Pour les émails reçu je répondrais samedi.
Demain je fais la bamba et je raconte des blagues pour oublier....
Bon courage à tous
Kénavo
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Re: RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par BRIAND »

J'ai oublié :
Si Fradan ne fait pas de nomadisme, elle posera la question à son Professeur et nous donnera la réponse.
Moi, je la connais déjà.
Bonsoir
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sergioses
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Re: RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par sergioses »

bonjour a tous m briand j’espère que sa va bien se passe bon courage pour les cures quand on prend des traitements qui diminue les défense immunitaires,ont peut déclencher pneumonie et finir mal,bon ,il m'est arrive d'attendre dans la salle d’attente bourre de malades qui toussais a tout va et le lendemain bronchite,bon la secrétaire qui est la depuis 30ans jamais malade.pour les cures un curiste de 85ans son docteur de cure voulais lui en coller toute une tartine et le jeune médecin n'ayant pas voulus réduire a ete en voir un autre trop de soins n'est pas bon pour le curiste,il faut écoute son corps il vaut mieux en faire moins mais bien les faire tranquillement sans stresse,il yen a plus il ont de soins,plus il sont content et sur que sa leur fera du bien
depuis dimanche+ mal a la hanche pth descelle :roll: :wink:
alors ils sont déçu et malade en revenant vont voir leur médecin traitant bon courage
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sergioses
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Re: RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par sergioses »

bonjour au sujet de l’hôpital j'ai eu arthrodese cervicale 6heures d'interventions opéré a 8h le lundi réveil mardi matin en salle de réveille super j'avais faim et envie de vomir bon l’infirmière super sympa me fait une piqûre de primperan et j'ai super manger,il me dise de renter chez moi,(j'ai regret e de ne pas avoir ete en maison de repos)j'avais un point blanc d’infection qui allais sortir vu par une infirmière mais pas traite, mon médecin traitant et l'infirmier ne voulant pas s'en occupe tu téléphoné au dr chu Nante ce que je fait il fait revenir reoperation avec nettoyage 15jour retour a la maison et re point blanc retéléphone dr chu et réopéré et la greffe était prise donc il ont pu enlever le fil de fer qui maintenais l'os pour sceller les vertèbres ensemble et la tête ,pour faire des Economie total failli y passe infection nosocomial d’après certain médecin qui venais te voir je n'avais aucune chance infection dans la colonne vertébrale vous vous rendez conte certain te donnais un peut plus de chance a Nantes chu universitaire tu en voie beaucoup
les cures bien faite c'est a dire en douceur pour les malades sont benefique??bon courage aimcalement sergioses44
BRIAND
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Re: RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par BRIAND »

INFORMATION
Face à la désertification médicale, les élus de plus en plus séduits par les maisons de santé
SANTE|

L'ouverture de maisons de santé pluridisciplinaires|sante|Face à la désertification médicale, les élus de plus en plus séduits par les maisons de santé|Des maisons de santé pluridisciplinaires|L'implantation de maisons de santé pluridisciplinaires|L'Agence régionale de santé (ARS)|plus tard à travailler en maison de santé|aussi plus nombreux à demander à travailler en maison de santé|le docteur Annie Cappiello, chef du service Actions de santé au conseil général|la maison de santé|créé une première maison urbaine de santé (MUS) au Neuhof|Outre les mesures de soutien classiques à l'installation (aides financières ne dépassant pas 20 % du montant des honoraires, prime de 5.000 euros par an pour des investissements), l'incitation au regroupement des praticiens au sein de maisons de santé figure aussi dans la panoplie des pouvoirs publics|l'Agence régionale de santé|la plus faible densité médicale en Ile-de-France, sur la vingtaine de maisons de santé envisagées, une seule|Lydie Autreux, conseiller général chargé des questions de santé|restructuration en vue pour les centres de santé
Information Les Echos • pertinence : 71 %
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Re: RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par sergioses »

bonjour m briand alors sa va??une ville avait trouve un médecin qui voulais bien venir mais sa femme ne voulais pas pas de cinéma magasins trop campagne alors la prime??,dans certaine zone il yen a beaucoup trop ??? medecin de cure peut-etre aussi sutout quand il remplisse toute les cases de l'ordonance de cure a te rendre malade pas tous :x amicalement sergioses44
BRIAND
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Re: RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par BRIAND »

Déserts médicaux : campagne de recrutement en Dordogne

Pour freiner la désertification médicale, la CPAM de Dordogne fait la tournée des marchés pour inciter des professionnels de santé en vacances à s'installer en Périgord. Depuis 2007, les effectifs sont en baisse constante

Sous les guirlandes de fleurs colorées, vestiges de la félibrée de juillet, touristes et locaux se pressent sur le marché de Piégut-Pluviers, à quelques kilomètres de Nontron. Entre des étals de fruits et légumes ou d'artisanat, Nelly Perraud-Dausse, de la Caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM) de Dordogne, prospectus en mains, fend la foule à la recherche de personnes susceptibles de s'établir en Périgord. Et la cerise sur le gâteau aux noix serait un professionnel de santé.
Cet été, pour faire face à la baisse constante du nombre de médecins généralistes en Dordogne depuis 2007, la CPAM s'est lancée dans une démarche inédite : séduire le corps médical sur son lieu de villégiature afin qu'il y reste définitivement.
Seulement deux généralistes
Depuis le 16 juillet, la CPAM, en association avec le réseau départemental d'accueil, a déjà investi les marchés de Salignac-Eyvigues, Le Bugue, Ribérac ou Terrasson, afin d'établir des contacts dans ces lieux très fréquentés par les touristes.
Comme le médecin en vacances ne se balade pas avec un stéthoscope autour du cou, charge à Nelly Perraud-Dausse de capter son attention et d'adapter son discours au vacancier. « Nous sensibilisons les gens au problème des déserts médicaux et, tout de suite, ils sont réceptifs. S'ils ne sont pas médecins, on leur demande s'ils n'ont pas des amis ou de la famille qui seraient susceptibles de s'installer en Périgord », explique-t-elle.
Si Piégut-Pluviers a été choisie pour cette campagne à cause d'un marché estival très fréquenté, la petite commune du Périgord vert aux 1 300 habitants est aussi emblématique de l'hémorragie de généralistes en Dordogne.
Le secteur fait partie des huit zones du département sous-dotées en médecins, au même titre que Villefranche-du-Périgord en Sarladais, Sigoulès en Bergeracois ou Montpon en limite de la Gironde.
À ce jour, le canton et les deux Communautés de communes ne comptent que deux généralistes. Un dentiste devrait venir s'installer sous peu après des mois sans praticien.
Alain Marzat, premier adjoint au maire de Piégut-Pluviers, voit d'un bon œil cette initiative mais reste sceptique. « Je serais très heureux qu'un médecin vienne s'installer ici mais je ne suis pas sûr qu'on le trouve sur le marché, analyse-t-il. Nous avons un bâtiment qui pourrait être mis à disposition mais personne ne s'installe. Je travaille à l'hôpital d'Angoulême et c'est déjà compliqué de trouver des internes là-bas, alors faire rester quelqu'un à Piégut… »
Une Bourse aux emplois
Ce fatalisme gagne de nombreux maires dans un département où la densité médicale est inférieure à la moyenne nationale et où les projections annoncent que plus d'un quart des omnipraticiens devraient disparaître du Périgord d'ici à 2015.
« Aujourd'hui, pour faire venir des médecins, il faut quasiment proposer une installation clé en main, analyse Nelly Perraud-Dausse. Les nouveaux ne veulent plus être isolés. C'est pour cela que nous les orientons vers les maisons pluridisciplinaires et leur présentons les avantages financiers mis en place. Tous ces services d'accompagnement existent, encore faut-il le faire savoir. »
D'où le lancement par la CPAM de la Dordogne, depuis février 2012, d'un site Internet, véritable Bourse d'emplois où sont listés les cabinets médicaux à reprendre ou les postes de kinés ou d'infirmiers.
En complément de ces opérations, la CPAM de Dordogne, à la rentrée universitaire, organisera une session d'information auprès des étudiants en médecine de Bordeaux afin de les inciter à s'installer en Périgord à la fin de leurs études et leur prouver qu'on peut conjuguer ruralité et modernité.
Un enjeu de taille pour les soins médicaux en milieu rural, dont le pronostic vital est engagé.

INFORMATION SUD-OUEST et LE MONDE
Publié le 09/08/2012 à jour : 09/08/2012
Par Julie Martinez
Le Monde 13 août 2012

BRIAND
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sergioses
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Re: RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par sergioses »

bonjour oui j'ai vu c'est passe a la télé faire les marchés c'est rigolo sa veut dire au patient les médecins ne veule pas venir chez vous c'est normal a la campagne plus personnes veut aller les agriculteur ne trouve pas de compagne faut dire qu'il n'y a plus de petite exploitations donc reste les retraitées comment voulez vous que les jeunes médecins y vont ????? j'ai un médecin traitant qui est très bien sont logiciel détecte 17 alertes entre médicament il ne fait rien in sais quoi faire,le pharmacien au dessus de 4 médicaments ils il y a interférence,je prend de la cortisone fait monte la tension j'en prend plusieurs pour faire baisse et pour arythmie amiodarone si bien que je n'ai plus de forces des fois vers 16heures sa vaun peut mieux le matin j'ai mal mal dormi douleurs et des que je fait quelque chose je suis fatigues sieste 13heures et 16h sa va en se moment j'ai arrêté un micardis depuis 2mois puis temerit 1jour sur 2 plus la pêche moins cerveau endormie et fatigue mais la tension remonte un peu donc je reprend micardis,en plus comme j'étais mieux j'ai range un peut dans le garage quelque outils en sandalette si bien que j'ai mal a la hanche pth descelle e douleurs atroce comme je me trouve ps assez en forme pour me faire opéré ,il vaut mieux être en forme pour changer le cotyl le chirurgien m’attend d’après médecin traitant mais je lui dit a chaque fois je suis fatigue endormi anémie il s’en fou bon il a 1an de moins que moi 1946 bon courage amicale :D ment sergioses44
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Re: RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par sergioses »

:roll: :mrgreen:
BRIAND a écrit :Bonsoir Mr Sergioses
Merci de me demander des mes nouvelles.
C'est pas terrible comme on dit par chez nous.
Je ne t'oublie pas, et si Dieu le veut je débarque dans ton beau Pays de cyclo cross avant la fin de l'année et j'offre le restau.
Lundi je passe sur le billard sauf imprévu car c'est compliqué avec d'autres maladies....
Lundi dernier consultation anésthésiste personne dans les salles d'attente.....
Pour ce que tu as écrit je suis bien informé la-dessus.
Je n'ai pas osé mettre ce que j'ai reçu en juin, pour diverses raisons.
Dans mon quartier 2 dentistes et 2 ophtalmos en retraite pas de remplaçant
Concernant les cures, c'était à une réunion ou j'étais invité " sur la santé de demain..."
Tous les professeurs et rhumatos où j'ai été en consultation de puis 35 ans étaient contre.... et au début çà bardait.
J'ai même vu des malades retourner à l'hôpital en revenant. Ou est le bénéfice ? Pour le malade et la Sécu ?
A la demande de mon rhumato de l'époque , un PR était venu me voir en revenant, et m'avait peur .. J'en dis pas plus.
Mais comme m'a dit ce professeur en retraite on évolue....J'ai été invité à visiter le centre de cure spécialisé dans la PR
mais j'ai envoyé une collègue qui en dit que du bien, mais nous sommes si différents.
Pour les émails reçu je répondrais samedi.
Demain je fais la bamba et je raconte des blagues pour oublier....
Bon courage à tous
Kénavo au sujet du cyclocros j'etait au urgences de st nazaire samedi ou dimanche qui avais fait une chute au depart 5mn d course et 3heures d'attente radio pour rentre chez eux dans les charentes rien de grave bon souvenir depontchateau et sont calvaire amicalement sergioses44
BRIAND
:oops:
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sergioses
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Re: RECHERCHE MEDECINS DESESPEREMENT

Message par sergioses »

m briand meilleur voeux pour cette nouvel année que je n'est failli :D pas voir ayant passe un peut de temps a l'hopital
je vous avais dit opere d'une hernie ombilicale,qui s'est bien passe ?? 3 jours d'hopital arrete le plavix 7/8 jours pas de piqure dans le ventre d'eparine ?? je crois total je'avais pris rendez vous chez mon :D medecin traitant le lundi pour le jeudi me trouvant + essoufle il m'envoie vite prise desang l labo avant 16h a 16h45 m'apelle + l'ambulance direct hopital
double embolie pulmonaire,donc scintigraphie +scaner a nantes chu central de st nazaire 16h a 19heures
puis je reviens bien fatigue , 8jours + tard samedi midi urgence pneumonie au urgences de st nazaire plein plus de lits
2/4 docteur 4/5 internes que de femmes qui m'ont dmande si j'etai docteur veule faire le taux d’oxygène piqures me dise que je ne pouvais pas reste se serai signale sur le rapport si bien qu'il m'ont mis sous antibiotique perfusion a 15 pour me monter ver 19h eurs 30 ,suis reste 1 semaine docteur du service très bien maintenant sa va mieux je recupere
jespere que vous et votre femme ont passe de bonne fette de fin et debut d'annee bon moi c'etait au lit amicalement meilleur voeux a tous sergioses44 :lol: :D :) :(
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