soeur guérie
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soeur guérie
vous allez peut etre vous demander pourqoi cette question celà interressera peut -etre personne mais j'ai quand meme été très étonnée par cette annonce à la télé , cette soeur guérie miraculeusement par jean paul deux de la maladie de parkinson .Qu'en penssez-vous ?Est -ce possible ou bluf? et si c'était possible pourqoi qu'une personne y aurait droit et pourqoi pas nous tous ce serait formidable mais celà me parait invraissemblable non?!!!!!!!
j'ai subi 14 interventions pour ma p.r.et je suis ravie je vais bientot avoir la quinzième tranquille
Ta question est interessante.
En ce qui me concerne, j'y crois ! Je pense par contre que ç'a n'arrive qu'aux autres et que je n'ai pas suffisamment la foi pour que ça m'arrive !
La vrai question est pour combien de temps guerri-t-on de ces maux ?
Cette question n'est pas innocente, car comme une copine dans ce forum qui est Fan de Michel, je suis Fan de JJG et lorsque j'allais à ses concerts, il m'arrivait d'en ressortir transformée.... J'ai même plus eu de PR pendant plus de 2 ans sans medicaments ni rien, même les facteurs rhumatoide étaient devenus négatifs. Alors, Jean-Paul II, Michel, ou Jean-Jacques, l'essentiel c'est d'y croire un peu.
Mais avec du recul maintenant, je peux dire que c'est pure coincidence. Le moral y est pour beaucoup dans toutes les maladies et quand tu passes un bon moment, t'as forcémment le moral après !
Bises
Martine
En ce qui me concerne, j'y crois ! Je pense par contre que ç'a n'arrive qu'aux autres et que je n'ai pas suffisamment la foi pour que ça m'arrive !
La vrai question est pour combien de temps guerri-t-on de ces maux ?
Cette question n'est pas innocente, car comme une copine dans ce forum qui est Fan de Michel, je suis Fan de JJG et lorsque j'allais à ses concerts, il m'arrivait d'en ressortir transformée.... J'ai même plus eu de PR pendant plus de 2 ans sans medicaments ni rien, même les facteurs rhumatoide étaient devenus négatifs. Alors, Jean-Paul II, Michel, ou Jean-Jacques, l'essentiel c'est d'y croire un peu.
Mais avec du recul maintenant, je peux dire que c'est pure coincidence. Le moral y est pour beaucoup dans toutes les maladies et quand tu passes un bon moment, t'as forcémment le moral après !
Bises
Martine
c'est bien ce que je pensais puisque moi personnellement c'est bruel qui m'a fait un déclic un jour ou j'ai faillit faire une bétise et c'est vrai que lorsque je dois le voir en spectacle ou à la télé ou autre je suis mieux donc quelque part ce n'est qu'éphèmère tout çà mais çà fait du bien sur le moment merci de m'avoir répondue
j'ai subi 14 interventions pour ma p.r.et je suis ravie je vais bientot avoir la quinzième tranquille
Je pense que c'est une question qui soulève bien des polémique et que la seule réponse se trouve au fond de soi... Certains y croient dur comme du fer et ne changeront pas d'avis, d'autres n'y croinet pas et prouveront pas a + b que ce n'est pas possible.... Pour moi, l'important c'est que cette femme (soeur ou pas) pense être guérie...Que ce soit en priant JP2, Polana Bruel ou métho et son pote Embrel.... seul le résultat compte... En revanche ce qui me perturbe dans cette histoire c'est qu'on en parle comme par hasard au bon moment... avec la télé et tout et tout... et ainsi on peut faire croire au gens que c'est en priant JP2 ou en allant à tous les concerts de Polna que l'on va "guérir"..Une fois de plus c'est selon chacun...Je suis croyante, chrétienne et très tolérante ... je sais aussi prendre du recul et ne pas suivre le troupeau quand cela ne me semble pas être en accord avec mes sentiments!
Je ne vais pas prier JP2, parce que dans ce cas moi je préfère toujours avoir accès au patron , j'ai sa ligne directe donc je l'utilise... Et piuis je pense que dans les maladie, la croyance permet au psycho de se libérer et de faire des miracles.... La croyance en ce qu'on veut : artiste, dieu(x), prophète(s),saint(s), grigris ou gourous.....
Je ne vais pas prier JP2, parce que dans ce cas moi je préfère toujours avoir accès au patron , j'ai sa ligne directe donc je l'utilise... Et piuis je pense que dans les maladie, la croyance permet au psycho de se libérer et de faire des miracles.... La croyance en ce qu'on veut : artiste, dieu(x), prophète(s),saint(s), grigris ou gourous.....
Toujours et pour toujours votre clown
oui c'est ce que je dis ou sous entends en disant que comme par hasard on en parle peu de temps avant l'ouverture du procès pour la canonisation...Je ne suis pas ça de très près (je ne suis pas catholique ) mais c'est ce que j'ai cru comprendre à la radio!
Mais regardez quand même : Combien de dépression avons nous guéries ici sur ce forum????? Il suffit d'y croire
Mais regardez quand même : Combien de dépression avons nous guéries ici sur ce forum????? Il suffit d'y croire
Toujours et pour toujours votre clown
j'ai aussi entendu cette bonne nouvelle pour cette soeur,
comme vous le dites si bien chacun son Dieu, chacun sa croyance...
si ca peut faire du bien (attention au fanatisme bien sur)
Polnareff me fait oublier ma maladie le tps d'un concert, super mais en aucun cas il ne faut dévier d'un "ca fait du bien la ou ca fait mal"
bonne journée à tous
comme vous le dites si bien chacun son Dieu, chacun sa croyance...
si ca peut faire du bien (attention au fanatisme bien sur)
Polnareff me fait oublier ma maladie le tps d'un concert, super mais en aucun cas il ne faut dévier d'un "ca fait du bien la ou ca fait mal"
bonne journée à tous
Nat
on ira tous au paradis ...
Eh Eh en voilà une question intéressante,
Qu'on y croit ou pas je vous invite à lire le bouquin du Dr TELLIER "Et si on parlait miracles", c'est le médecin qui est chargé de constater et répertorier les guérisons miraculeuses, inexpliquées, du bureau des constations médicales de Lourdes. C'est un monsieur très bien, j'ai assisté à l'une de ses conférences ; j'ai rencontré une personne qui était en phase terminale de SEP, ses chances de survie étaient estimées par la médecine à seulement quelques jours et aujourd'hui il est totalement guéri (les médecins ne savent pas expliquer cette guérison mais ont constaté qu'il n'y avait plus aucunes lésions et vous le verriez trotter comme un lapin) et en passe d'être reconnu comme la 51ème (suis pas sûre du chiffre) guérison miraculeuse de Lourdes. Alors depuis, j'y crois, même si je ne sais pas, si je ne comprends pas le pourquoi du comment.
Qu'on y croit ou pas je vous invite à lire le bouquin du Dr TELLIER "Et si on parlait miracles", c'est le médecin qui est chargé de constater et répertorier les guérisons miraculeuses, inexpliquées, du bureau des constations médicales de Lourdes. C'est un monsieur très bien, j'ai assisté à l'une de ses conférences ; j'ai rencontré une personne qui était en phase terminale de SEP, ses chances de survie étaient estimées par la médecine à seulement quelques jours et aujourd'hui il est totalement guéri (les médecins ne savent pas expliquer cette guérison mais ont constaté qu'il n'y avait plus aucunes lésions et vous le verriez trotter comme un lapin) et en passe d'être reconnu comme la 51ème (suis pas sûre du chiffre) guérison miraculeuse de Lourdes. Alors depuis, j'y crois, même si je ne sais pas, si je ne comprends pas le pourquoi du comment.
Tout sur la guérison
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Soeur Marie Simon-Pierre: "Intérieurement, j'étais persuadée que j'étais guérie"
Créé le : 03 avr. 2007 13h49 Article posté par : Web
Soeur Marie Simon-Pierre a livré vendredi à Aix-en-Provence le récit de sa guérison en juin 2005, qu'elle attribue à "l'oeuvre de Dieu, par l'intercession de Jean Paul II", en déclarant: "Je me suis sentie complètement transformée (...), j'étais persuadée que j'étais guérie".
La religieuse affronte pour la première fois une forêt de caméras et de micros. Jean Paul II, brièvement rencontré à Rome en mars 1984 lors d'un pèlerinage, lui "donne la force", dit-elle, d'affronter les médias.
Son témoignage est un élément-clef du procès en béatification du pape défunt, ouvert en juin 2005 et dont la première étape s'achève solennellement lundi à Rome.
Atteinte d'une maladie de Parkinson diagnostiquée en juin 2001, soeur Marie Simon-Pierre raconte ses difficultés croissantes à écrire, marcher ou conduire. Elle tenait pourtant à assurer son travail de surveillante d'un service de 40 lits à la maternité catholique de l'Etoile, à Puyricard (Bouches-du-Rhône).
"Le courage de Jean Paul II (atteint lui-même de Parkinson, ndlr) m'a beaucoup aidée", se souvient-elle, à maintenant 46 ans.
Un court voile blanc, des lunettes, elle sourit constamment. Sa voix est ferme malgré des pointes d'émotion.
"J'avais 17 ans quand il a été élu pape, c'est un peu mon pape". Quand il apparaissait à la télévision, les derniers temps de sa vie, elle ne le regardait plus: les images de ce qui l'attendait, étaient trop dures. A Pâques 2005, le sachant mourant, elle se prépare quand même à le voir mais "un imprévu dans le service" l'en empêche. Il meurt le 2 avril.
"J'ai eu l'impression de perdre un ami, quelqu'un qui me donnait la force d'avancer". Sa maladie alors s'aggrave, elle vit "deux mois terribles". Elle prie, les autres Petites soeurs des maternités catholiques aussi, "par l'intermédiaire de Jean Paul II".
"Le 2 juin, je n'en pouvais plus. Je ne voulais pas que mon service parte à la dérive à cause de moi. Je suis allée voir ma supérieure, soeur Marie-Thomas, lui demander de me remplacer. Elle m'a tendu un crayon pour me demander d'écrire +Jean Paul II+".
Elle écrit "comme pour le supplier" d'une écriture "quasiment illisible". Les deux femmes prient. La supérieure lui demande de tenir jusqu'en septembre et assure: "Jean Paul II n'a pas dit son dernier mot. Marie t'attend à Lourdes" où soeur Marie Simon-Pierre devait aller en août.
Elle regagne sa chambre, a "l'impression d'entendre une voix disant +prends ton stylo et écris+", se dit "c'est drôle, ton écriture est très lisible" puis s'endort.
"Je me suis réveillée à 4H30, d'un bond, je me suis sentie complètement transformée, je n'étais plus la même intérieurement. C'est difficile à expliquer, trop fort, trop grand, un mystère". Elle descend prier, "envahie d'une grande paix".
A 6H00, elle marche pour rejoindre les autres soeurs: "je me suis aperçue que mon bras gauche balançait, je suis arrivée rayonnante". C'est sa semaine de lecture, elle va à l'ambon --"intérieurement j'était persuadée que j'étais guérie"--, son visage est transformé, lui diront les religieuses. A l'une, elle montre sa main gauche: "regarde, elle ne tremble plus. Jean Paul II m'a guérie".
Puis elle écrit --"mon stylo courait sur le papier, ma main glissait sur la feuille"--, remplace sans problème une employée malade dans son service. A midi, elle arrête son traitement. Le 7 juin, elle voit son neurologue qui se dit "ébahi".
Les actes du procès mené par le diocèse d'Aix-en-Provence sur sa guérison seront transmis à la Congrégation pour la cause des saints à Rome, qui choisira s'il les communique au pape Benoît XVI pour qu'il tranche sur son caractère miraculeux.
Soeur Marie Simon-Pierre: "Intérieurement, j'étais persuadée que j'étais guérie"
Créé le : 03 avr. 2007 13h49 Article posté par : Web
Soeur Marie Simon-Pierre a livré vendredi à Aix-en-Provence le récit de sa guérison en juin 2005, qu'elle attribue à "l'oeuvre de Dieu, par l'intercession de Jean Paul II", en déclarant: "Je me suis sentie complètement transformée (...), j'étais persuadée que j'étais guérie".
La religieuse affronte pour la première fois une forêt de caméras et de micros. Jean Paul II, brièvement rencontré à Rome en mars 1984 lors d'un pèlerinage, lui "donne la force", dit-elle, d'affronter les médias.
Son témoignage est un élément-clef du procès en béatification du pape défunt, ouvert en juin 2005 et dont la première étape s'achève solennellement lundi à Rome.
Atteinte d'une maladie de Parkinson diagnostiquée en juin 2001, soeur Marie Simon-Pierre raconte ses difficultés croissantes à écrire, marcher ou conduire. Elle tenait pourtant à assurer son travail de surveillante d'un service de 40 lits à la maternité catholique de l'Etoile, à Puyricard (Bouches-du-Rhône).
"Le courage de Jean Paul II (atteint lui-même de Parkinson, ndlr) m'a beaucoup aidée", se souvient-elle, à maintenant 46 ans.
Un court voile blanc, des lunettes, elle sourit constamment. Sa voix est ferme malgré des pointes d'émotion.
"J'avais 17 ans quand il a été élu pape, c'est un peu mon pape". Quand il apparaissait à la télévision, les derniers temps de sa vie, elle ne le regardait plus: les images de ce qui l'attendait, étaient trop dures. A Pâques 2005, le sachant mourant, elle se prépare quand même à le voir mais "un imprévu dans le service" l'en empêche. Il meurt le 2 avril.
"J'ai eu l'impression de perdre un ami, quelqu'un qui me donnait la force d'avancer". Sa maladie alors s'aggrave, elle vit "deux mois terribles". Elle prie, les autres Petites soeurs des maternités catholiques aussi, "par l'intermédiaire de Jean Paul II".
"Le 2 juin, je n'en pouvais plus. Je ne voulais pas que mon service parte à la dérive à cause de moi. Je suis allée voir ma supérieure, soeur Marie-Thomas, lui demander de me remplacer. Elle m'a tendu un crayon pour me demander d'écrire +Jean Paul II+".
Elle écrit "comme pour le supplier" d'une écriture "quasiment illisible". Les deux femmes prient. La supérieure lui demande de tenir jusqu'en septembre et assure: "Jean Paul II n'a pas dit son dernier mot. Marie t'attend à Lourdes" où soeur Marie Simon-Pierre devait aller en août.
Elle regagne sa chambre, a "l'impression d'entendre une voix disant +prends ton stylo et écris+", se dit "c'est drôle, ton écriture est très lisible" puis s'endort.
"Je me suis réveillée à 4H30, d'un bond, je me suis sentie complètement transformée, je n'étais plus la même intérieurement. C'est difficile à expliquer, trop fort, trop grand, un mystère". Elle descend prier, "envahie d'une grande paix".
A 6H00, elle marche pour rejoindre les autres soeurs: "je me suis aperçue que mon bras gauche balançait, je suis arrivée rayonnante". C'est sa semaine de lecture, elle va à l'ambon --"intérieurement j'était persuadée que j'étais guérie"--, son visage est transformé, lui diront les religieuses. A l'une, elle montre sa main gauche: "regarde, elle ne tremble plus. Jean Paul II m'a guérie".
Puis elle écrit --"mon stylo courait sur le papier, ma main glissait sur la feuille"--, remplace sans problème une employée malade dans son service. A midi, elle arrête son traitement. Le 7 juin, elle voit son neurologue qui se dit "ébahi".
Les actes du procès mené par le diocèse d'Aix-en-Provence sur sa guérison seront transmis à la Congrégation pour la cause des saints à Rome, qui choisira s'il les communique au pape Benoît XVI pour qu'il tranche sur son caractère miraculeux.