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PieretteM
Messages : 2294
Enregistré le : 01 janv. 2005, 13:35

Message par PieretteM »

PETITES NOUVELLES

Roselyne Bachelot renvoie Laporte dans ses 22 mètres

C'est ce qui s'appelle renvoyer dans ses 22m. Mardi, la ministre des Sports Roseline Bachelot a dû rappeler les devoirs d'une fonction gouvernementale à son futur secrétaire d'Etat Bernard Laporte.

Quelques heures plus tôt, le futur ex-entraîneur du XV de France avait affirmé: «J'ai un nouveau métier. S'il me plaît, j'y resterai. S'il ne me plaît pas, je ne le ferai plus. J'aurai toujours cette liberté, et tant mieux. J'irai avec beaucoup de conviction, beaucoup d'envie, parce que je crois que les gens qui m'ont nommé ont fait beaucoup d'efforts aussi.»

Bachelot: «Pas pour son plaisir»

Invitée à réagir peu après sur France Inter, Roselyne Bachelot a rétorqué: «Etre secrétaire d'Etat, ce n'est pas une question que ça plaise ou pas. On remplit une fonction, on ne la remplit pas pour son plaisir, on la remplit pour le bien des Français.»

Bernard Laporte, très proche du président de la République Nicolas Sarkozy, avait été nommé le 19 juin secrétaire d'Etat aux Sports, mais il était précisé qu'il ne prendrait ses fonctions qu'après la Coupe du monde de rugby, dont la finale aura lieu samedi.

«Je serai à 200% dans ce nouveau métier, a assuré Laporte. J'y vais surtout avec l'envie de m'entourer de tous les grands champions français qui ont fait de belles choses et ont sans doute des messages à faire passer à tous nos jeunes, parce que cela aussi, c'est un des points: donner envie à nos jeunes de faire du sport.»

Laporte: «Je n'entraînerai plus jamais»

Pendant la Coupe du monde, Laporte a été sous le feu de diverses polémiques, portant tantôt sur des questions sportives, tantôt sur ses intérêts commerciaux.

Le 20 septembre, une source proche du gouvernement avait affirmé que le portefeuille de la Jeunesse, attribué à l'origine à M. Laporte, reviendrait finalement à la navigatrice Maud Fontenoy. Cette information n'a jamais été officiellement confirmée, mais n'a jamais été démentie non plus.

L'homme qui dirigera vendredi son dernier match à la tête de l'équipe de France de rugby n'a pas précisé ce qu'il comptait faire si jamais ce poste de secrétaire d'Etat ne lui plaisait plus. «Je n'entraînerai plus jamais de ma vie, ça aussi c'est une certitude, a-t-il simplement indiqué. Et pourtant, je fais partie de ceux qui disent qu'il ne faut jamais dire jamais, mais là je dis jamais, car j'ai envie de voir autre chose. Le rugby, c'est 35 ans de ma vie, comme joueur et entraîneur. C'est passionnant, mais j'ai envie d'un nouveau challenge.»



INTERVIEW de J.C. SKRELA

La blessure n’est pas encore refermée. Mais elle cicatrice. Quatre jours après la défaite des Bleus en demi-finale, face à l’Angleterre, Jean-Claude Skrela sort de son silence. Le Directeur technique national, tout juste revenu de Nouvelle-Zélande, revient sur l’échec du XV de France. Et évoque la nomination du successeur de Bernard Laporte.


Avec le recul, comment vivez-vous la défaite des Bleus en demi-finale, face à l’Angleterre?
On la digère petit à petit, en se disant que ce n’est qu’un jeu. Mais il me semble qu’il y avait la place pour passer.

Comment expliquez-vous que l’équipe de France a une nouvelle fois échoué face au XV de la Rose?
Le premier match a amené beaucoup d’inquiétude. Cette défaite face à l’Argentine nous a suivis durant toute la Coupe du monde. La confiance acquise durant les matchs de préparation s’est envolée. Du coup, il y avait beaucoup de pression sur les joueurs. Et quand vous êtes sous pression, vous êtes forcément approximatifs dans le jeu.

La victoire en quarts de finale, face aux Blacks, a-t-il laissé des traces?
Tout le pays a transformé ce succès en exploit. Pour les médias comme pour le public, c’est comme si on avait été champions du monde. Les joueurs étaient dans le bien-être alors qu’avant d’affronter la Nouvelle-Zélande, ils étaient dans le conflit. Inconsciemment, ils se sont relâchés et n’ont pas pu tout donner face à l’Angleterre. Sans cette défaite face à l’Argentine en match d’ouverture, le XV de France n’aurait pas laissé autant d’énergie mentale en route. C’est vrai que l’objectif n’a pas été atteint. Mais on peut se réjouir que la Coupe du monde soit une grande réussite en France.

Depuis samedi, on reproche beaucoup à Bernard Laporte d’avoir opté pour la mauvaise stratégie…
En 1999, les critiques étaient tombées sur moi parce qu’on avait trop joué en finale, face à l’Australie. Cette fois, c’est l’inverse. Je me demande vraiment ce que veulent les gens (énervé). On est allé jusqu’à dire que l’Argentine avait été intelligente lorsqu’elle nous a battus en jouant avec des chandelles et en misant sur l’occupation du terrain. Nous, on utilise cette même stratégie contre l’Angleterre et on dit que ce n’était pas la solution. Mais ils ont fait quoi les Argentins, contre l’Afrique du Sud (dimanche dernier, en demi-finale)? Et le reste de l’année, on joue comment dans le championnat de France? Bref, je préfère ne pas en dire plus, même si je n’en pense pas moins. Les analyses, je veux d’abord les faire en interne.

Mais selon vous, Laporte a-t-il tué le French flair?
C’est quoi, le French flair ? Attaquer de partout. Les Français n’ont eu que quatre ballons exploitables durant la rencontre.

Qu’a-t-il donc manqué au XV de France?
Je ne sais pas. A la direction technique nationale, on a tout mis en œuvre pour permettre à notre équipe nationale de décrocher le titre mondial. On a essayé de pousser les clubs à libérer davantage les joueurs pour qu’ils se préparent avec la sélection. Cela n’a pas suffi. Il faut donc mettre en place une nouvelle organisation avant d’en déterminer les contenus. L’objectif, c’est d’avoir un plan de quatre ans avec la Fédé et les clubs.

Bernard Laporte et Bernard Lapasset avaient tenu le même discours en 2003…
A un moment, vous pouvez mettre tous les moyens pour atteindre un objectif, vous êtes rattrapés par l’incertitude du sport. On vantait tous les projets des Néo-Zélandais et ils n’ont pas été champions du monde depuis 1987 ! Les Irlandais, ils ont eu leurs joueurs à disposition pendant deux ans et ça ne les a pas empêchés d’être éliminés dès la phase de poule.

Certains anciens affirment que l’encadrement aurait dû dégager une équipe-type plus tôt. Partagez-vous cet avis?
Mais c’est qui, ces anciens? Ils ont déjà été entraîneurs? Aujourd’hui, les matchs ne se gagnent plus à quinze. Le rugby est devenu tellement coûteux en énergie qu’il faut préparer un groupe de trente joueurs. Et ce groupe doit partager un projet de jeu avec le staff.

Au regard des déclarations de Michalak, Jauzion ou Chabal, on a l’impression que ce n’était pas le cas …
Je suis très étonné par ces réactions. Je ne veux pas croire que les joueurs n’étaient pas imprégnés de la stratégie mise en place. Les trente sélectionnés, je les ai tous vus s’entraîner et on ne peut pas dire qu’ils ne connaissaient pas la tactique choisie. A un moment donné, c’est aussi à eux de prendre des initiatives sur le terrain.

La suite de l'interview en cliquant ici: Jean-Claude Skrela parle de l'avenir de l'équipe de France, de la nomination du nouveau sélectionneur et du rugby moderne...

Propos recueillis par Gil Baudu
BRIAND
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LE RUGBY

Message par BRIAND »

PAS BAISANTE LA ROZELINE
Si la France avait gagné le pauvre entraineur aurait été un « DIEU »
Un entraineur disait un jour c'est le dernier des métiers, mais c'est pas lui qui est sur le terrain.
Nicolas a voulu lui offrir l'apéro maintenant qu'il est seul.... Juste un doigt de porto.
Rozeline a répondu le porto j'aime pas mais le doigt je veux bien.... Cochonne en plus.
Pourtant c'était du Calem....
Mr LAPORTE elle aime peut-être le pasrtis pardi !
Kénavo

Allez les bleus de ce soir !!!!!!
PieretteM
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Re: LE RUGBY

Message par PieretteM »

MAIS C'ETAIT PAS HIER LE MATCH
C'EST DEMAIN SOIR POUR SOUTENIR NOS BLEUS
J'ESPERE QU'ILS POURRONT LE GAGNER CE MATCH
ALORS TOUS DERRIÈRE LES BLEUS DEMAIN SOIR
BRIAND
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LE BALLON

Message par BRIAND »

PIERRETTE

HIER SOIR C ' ÉTAIT BIEN MATCH DE FOOT !!!!

LE BALLON ÉTAIT ROND ET PAS MOI !!!!!
PieretteM
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Re: LE BALLON

Message par PieretteM »

AH LE TRUC où il y a 22 JOUEURS QUI COURENT APRES UN BALLON
ET DES SUPPORTERS QUI SE BATTENT DANS LES TRIBUNES beurkkkkkk

MOI QUI CROYAIS QUE CE POST ETAIT DEDIE AU RUGBY
PieretteM
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Re: LE BALLON

Message par PieretteM »

ALLEZ LES PETITS



Quelques nouvelles

Ibañez: «Des moments émouvants»
«Ce match va clôturer une longue campagne, qui aura duré de nombreuses semaines. Pour le groupe, ce sont toujours des moments assez émouvants, pour des joueurs en particulier notamment», avoue le capitaine, Raphaël Ibañez, susceptible de jouer-là son dernier match avec les Bleus.
FRED MICHALAK
Comment abordez-vous ce match pour la troisième place?
Cette rencontre face à l’Argentine, on se doit de la gagner. On est redevable du public français pour tout le soutien qu’il nous a apporté. Notre grande fierté, c’est d’avoir pu rassembler tout un peuple derrière nous. Je ne pensais pas que l’engouement serait si fort. Malgré notre parcours chaotique, les gens nous ont toujours soutenus. Ils se sont retrouvés dans les valeurs incarnées par le rugby : le respect et la solidarité. Je ne suis pas sûr que cela aurait été le cas en foot. Dommage qu’on n’ait pas pu leur offrir une meilleure fin.

Après la défaite face à l’Angleterre, vous avez remis en cause la stratégie mise en place par Bernard Laporte. Regrettez-vous ces propos?
Il y a des discours avec lesquels je suis d’accord, d’autres non. Je n’adhérais plus à celui de Laporte. Je ne compte pas me braquer, ce n’est qu’un avis personnel. La stratégie, c’était à nous de la mettre en place. Sur le terrain, nous sommes les acteurs. Nous aurions dû nous prendre davantage en charge, afficher plus d’ambitions offensives dès le départ. La frustration est grande car on avait un groupe de qualité et qu’on pouvait montrer autre chose. On aurait dû élever notre niveau de jeu et avoir plus d'ambitions. Mais c'est difficile, le groupe a beaucoup tourné. Quand tu ne sais pas si tu vas jouer le week-end tout au long de la compétition, c'est difficile de mettre des choses en place.

Avez-vous des regrets?
Le regret, c’est de ne pas avoir plus communiqué entre-nous. On aurait dû prendre plus de responsabilités sur le terrain. Après la défaite face à l’Argentine, on s’est parlé. On a proposé un jeu très pauvre. Un joueur comme Yannick Jauzion, c’est quand même surprenant qu’on ne l’ait pas fait jouer plus de matchs. Pour moi, il est censé être la plaque tournante de notre équipe. On ne peut pas remettre en cause un jeu mis en place depuis quatre ans. Mais entre 2003 et 2007, on a stagné.

C’est-à-dire?
Depuis longtemps, il est trop stéréotypé. Avant le match d’ouverture, les Argentins savaient exactement comment nous contrer : dans les regroupements, ils ont retardé les sorties de balles. Ca nous a empêché de jouer vite au large. Durant cette Coupe du monde, on a montré une belle défense. C’est bien, c’est une arme pour l’avenir. Maintenant, on doit diversifier notre jeu.

Dans le rugby moderne, est-ce encore possible de développer un jeu qui ne soit pas basé sur la défense?
Oui, j’en suis persuadé. Prenez les Fidjiens : ils mettent des essais et pratiquent un jeu attrayant malgré des défenses resserrées. Les Australiens aussi ont un jeu stéréotypé. Mais ils offrent plus de variété. Dans leur style, les Anglais n’ont pas montré grand-chose : ils jouent au sol, retardent systématiquement les ballons dans les rucks, misent sur la botte de Wilkinson. Finalement, les plus complets et les plus imprévisibles, ce sont les Blacks.

A titre personnel, vous étiez remplaçant en quarts de finale ou en demies. Comment l’avez-vous vécu?
Je suis déjà content d’avoir été retenu dans la liste des trente. J’ai connu tellement de blessures ces derniers mois…

Avez-vous le sentiment d’avoir progressé depuis le Mondial 2003, notamment dans le jeu au pied?
J’ai essayé d’être performant et je reconnais ne pas toujours l’avoir été. On m'a beaucoup reproché le jeu au pied. Dès que je ne joue pas un coup de pied, je ne sais plus taper dans un ballon. C'est un peu une psychose. Mais est-ce que quelqu'un est venu en club pour essayer de rectifier ce qui n'allait pas? C'est là qu'il faut un travail entre les clubs et l'équipe de France. Il faut que tout le monde avance dans le même sens. On ne peut pas reprocher à quelqu'un ce genre de choses si personne ne vient l'aider. Je veux bien avancer et essayer de progresser. C'est pour cela que je suis obligé de m'exiler. Je sais que là-bas il y a des structures faites pour évoluer et je suis sûr que j'évoluerai.

Au début de votre carrière, vous avez évolué comme demi de mêlée. Depuis, vous jouer à l’ouverture. Un changement de poste est-il envisageable?
Par goût, je préfère jouer n°10. Aux Sharks, il est d’ailleurs prévu que j’évolue à l’ouverture. Mais si on me demande de passer à la mêlée, je m’adapterai.

Propos recueillis par Gil Baudu


Maso répond à Michalak
La semaine après la défaite face au XV de la Rose aura toutefois été marquée par un début de déballage au sein du rugby hexagonal. «Depuis 2003, notre jeu est tellement stéréotypé que toutes les équipes le connaissent», a ainsi balancé Frédéric Michalak. Une sortie qui a énervé Jo Maso. «Si certains veulent s'affaler dans les journaux ou dans la presse parlée, cela les regarde. Mais cela n'est pas dans l'esprit de notre sport, d'aller comme cela, en franc-tireur», a rétorqué hier le manager français.


ET ENCORE
Ce soir, le match pour la troisième place de cette Coupe du monde de rugby 2007 entre la France et les vieux cousins d'Argentine sera sa 98ème et dernière sélection. Entraîneur depuis 1999, il a laissé une empreinte dans le rugby français qui a été comprise ou incomprise en fonction des échéances. Mais indéniablement, après huit ans à la tête du XV de France, son parcours ne sera pas passé inaperçu.

En huit ans, Bernard Laporte a testé de nombreux joueurs. Ceux qui restent aujourd'hui, sont probablement ceux qui le connaissent le mieux aujourd'hui. Au jour de son dernier match, les soldats du Kaiser reviennent sur la fin de l'ère Laporte.

Entraîneur reconnu...

Celui qui par deux fois a amené les Bleus en demi-finale de Coupe du monde est vu comme un entraîneur sérieux et compétent : « Beaucoup de joueurs ont progressé sous ses ordres, j’en fais moi-même partie. Cette année la France est encore dans le dernier carré du rugby mondial, c’est un bel héritage pour son successeur », raconte le capitaine de cette tournée mondiale, Raphaël Ibanez.

Certains vont même plus loin comme Christophe Dominici : « C’est un grand homme, il a fait beaucoup pour le rugby français, il faut le reconnaitre. Il a toujours été un grand compétiteur. Mais lui non plus ne sera jamais champion du monde. »

... Aux méthodes qui ne font pas l'unanimité

Un sacre qui est toujours resté hors d'atteinte du sélectionneur. Ce qui laisse certains joueurs à demi mots sceptiques quant à la méthode Laporte : « Quand on joue au rugby, on est obligé d’appliquer les consignes du coach, que ça nous plaise ou non », confie l'ouvreur Frédéric Michalak pour qui Bernard Laporte est avant tout un entraîneur et non un ami.

C'est surtout sur cette demi-finale perdue une fois de plus face aux Anglais que la stratégie de Bernard Laporte était mise en doute : « A 9-8 on n’accélérait pas ; ça m’énervait un peu. Je n’étais pas d’accord avec certaines décisions ; je pensais qu’on pouvait accélérer. On est frustré. On perd deux matches dans cette Coupe du monde face à des équipes qui ne proposent pas de jeu. Il faut faire un compromis entre jeu au pied et jeu à la main », glissait Yannick Jauzion à la fin du match.

Mais les joueurs n'éludent pour autant pas leurs responsablilités et en compétiteurs, tiennent à assumer leur échec sans mettre en cause Bernard Laporte : « Il ne faut pas chercher d’excuses, on a manqué notre match [contre l’Angleterre] » reconnaît, lucide, Frédéric Michalak.

Certains autres joueurs n'ont pas d'état d'âme, à l'image de la nouvelle génération : « J’essaie de ne pas avoir d’états d’âme par rapport au départ d’un sélectionneur. La première des choses à se dire est qu’il n’est pas parti puisqu’il reste un match à jouer. Si on a un peu de fierté on va essayer qu’il parte par la grande porte », lance Yannick Nyanga dont l'esprit de compétition prévaut.

A la veille de prendre ses fonctions de secrétaire d'Etat aux Sports, Bernard Laporte n'aura laissé personne indifférent. Qu'ils soient joueurs ou collaborateurs de l'encadrement, il aura marqué les esprits par sa passion et ses célèbres coups de gueules. Son empreinte sur le XV de France n'est pas prête de s'effacer.


MAIS DE PLUS....
Par Christophe LAMAISON
....Quand il sera secrétaire d’Etat au ministère des Sports, j’espère que Bernard Laporte n’aura pas Alzheimer. J’espère qu’il n’oubliera pas de rendre au rugby tout ce que le rugby lui a apporté.
PieretteM
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Re: LE BALLON

Message par PieretteM »

PETITE FINALE



Par la petite porte, voilà comment s'est terminé cette belle coupe du monde, dommage pour les bleus et leurs supporters.
Mais merci à eux d'avoir suscité un tel engouement.
L'organisation française est saluée par tous et tant mieux. Dommage que notre XV n'ai pu faire mieux mais ce sera pour la prochaine fois et puis il faut toujours un perdant et un gagnant.
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jaibobola
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Message par jaibobola »

Le rugby

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Et toi TAMALOU ????? POLY-BISOUS

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BRIAND
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BERNARD LAPORTE

Message par BRIAND »

Je ne savais pas !!!!
Notre pauvre Bernard Laporte aurait pu prendre la porte.....
Nommé secrétaire d' États aux sports, selon les infos reçues parcours à demi réussi car le pauvre n'aura obtenu que la moitié du titre promis et ne s'occupe que du sport et pas de la jeunesse.
Pouquoi cette semi-disgrâce ?
D 'après un journal sportif il pourrait être lui aussi impliqué dans des affaires douteuses......Pourtant c'est une ami de notre Président et pardi .
Pierrette qui connait TOUT sur le rugby peut nous apprendre ......
Je ne connais pas Mr LAPORTE mais il y en a un autre ancien sportif ( pas dans le rugby ) s'il est un jour ministre je me fais moine. J'en sais trop sur lui et c'est encore un qui cherche une bonne place.....
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