A ST TROPEZ
COMMENT REVEILLER SA LIBIDO
Un peu d'histoire
Déjà dans l'Antiquité, les courtisanes mettaient en scènes des déshabillages. Le mot « striptease » n'existait pas encore, on parlait d'effeuillage. Peu à peu, les techniques de déshabillages se sont modernisées : les femmes ont montré de plus en plus les parties sensuelles de leurs corps lors de spectacle public. Certains historiens pensent que les prémices du striptease apparaissent à Paris, fin XIXème, avec les célèbres danseuses de French Cancan. A partir de cette date, le striptease commencera sa « mue ». Première Guerre mondiale, influence des promoteurs américains qui le rendront plus grivois, et surtout dans les années 50, création du Crazy Horse et arrivée de l'industrie de l'érotisme amèneront le striptease à sa forme actuelle ! Très longtemps réservé aux femmes, le striptease s'ouvre aux hommes en 1978 avec la formation du groupe des Chippendales, arrivés tout droit de Los Angeles.
Eprouvez du plaisir !
Le maître mot du striptease : le plaisir ! Vous devez autant en prendre qu'en donner.
Le fait même de se préparer pour ce show est un moment agréable. Seule et sans contrainte, vous prenez le temps de choyer, de vous parfumer, de choisir votre tenue, de vous coiffer... L'objectif : devenir particulièrement sensuelle... avant l'arrivée de votre conjoint(e). Pour l'ambiance, choisissez bien la musique en fonction du « show » prévu. Imaginez par exemple Kim Basinger dans le film Neuf semaines et demi ! Un peu d'entraînement ne vous fera pas de mal non plus. Pour la danse, pas de panique, vous ne devez pas nécessairement être un / une pro. L'essentiel se trouve dans les ondulations et la sensualité transmise. Jouez avec vos vêtements, faites durer le plaisir...Amusez-vous avec le suspens que vous êtes la (le) seule à maîtriser. Le fait d'être observé(e) par votre partenaire, d'attiser son désir vous procurera également beaucoup de plaisir.
Votre conjoint(e) sera, quant à lui (elle), extrêmement séduit(e) par votre numéro ! Vous savez mieux que personne ce qui l'excite, l'amuse...N'hésitez pas à en abuser ! Vous voir dans cette tenue, sexy, jouer avec votre corps -peut être pour la première fois- réveillera ses ardeurs. Approchez-vous de lui ou d'elle, faites lui croire qu'il peut vous toucher... Allez de plus en plus loin dans ce jeu subtil... La nuit est à vous !
Quelques conseils
- Choisissez des vêtements faciles à enlever. Préférez les pressions aux boutons pour l'effet « chemise qui se déchire ».
- Pensez donc à choisir une musique assez longue. Il serait dommage que votre show soit interrompu...
- Utilisez des accessoires pour rendre votre striptease encore plus excitant. La chaise est un classique. Vous pouvez y asseoir votre partenaire, tourner autour, jouer avec vos jambes...
- Déshabillez-vous lentement.
- N'hésitez pas à vous entraîner devant un miroir pour être plus sûr(e) dans votre gestuelle.
- Pour que l'effeuillage dure, mettez plusieurs couches de vêtements. Petite astuce : vous pouvez mettre un string en dessous d'une culotte, pour les femmes, ou sous un boxer pour les hommes.
Laure Marchal
LA SOLITUDE
Modérateurs : Moderateur02, soniaC, Moderateur01, catm, EvelyneP
Règles du forum
Vous pouvez voir ici les règles strictes d'utilisation du FORUM...
Il est interdit de diffamer, d'insulter, de prôner la haine raciale et en résumé tout ce que le respect d'autrui devrait vous interdire !!
Merci de tenir compte de ces règles sous peine de bannissement et d'interdiction temporaire puis définitive de ce forum...
En cas de spams massifs, vous pouvez adresser un message au webmestre via spams@parlonsdelapr.fr
Merci de votre compréhension et de votre soutien
Vous pouvez voir ici les règles strictes d'utilisation du FORUM...
Il est interdit de diffamer, d'insulter, de prôner la haine raciale et en résumé tout ce que le respect d'autrui devrait vous interdire !!
Merci de tenir compte de ces règles sous peine de bannissement et d'interdiction temporaire puis définitive de ce forum...
En cas de spams massifs, vous pouvez adresser un message au webmestre via spams@parlonsdelapr.fr
Merci de votre compréhension et de votre soutien
INFORMATION
Que pensez-vous de la durée des préliminaires?
- Il durent trop longtemps
Femmes : 3,4 % / Hommes : 3,7 %
- Ils ne durent pas assez longtemps
Femmes : 17,5 % / Hommes : 26 %
- Ils ne durent ni trop ni pas assez longtemps
Femmes : 52 % / Hommes : 58 %
- Ne souhaitent pas s'exprimer
Femmes : 25,8 % / Hommes : 12,4 %
L'AMOUR TOUJOURS L' AMOUR
Ce qu'en dit BIBA : T'as 2, 3 minutes, là?
L'avis de Sophie Cadalen* : « Que 26 % des hommes déclarent que les préliminaires ne durent pas assez longtemps me réjouit car c'est ce que j'entends sur le divan. On a tous en tête que les "femmes sont longues à chauffer", alors que de plus en plus d'hommes se plaignent de la trop grande rapidité des femmes, de leur manque de goût pour les baisers, de l'absence de caresses... Donc, des préliminaires, ils en veulent! La sexualité, ce n'est pas juste une histoire de pénétration et d'orgasme. Penser qu'un homme n'a pas besoin de préliminaires c'est le ramener à un statut de machine avec un bouton à érection... La sexualité est avant tout une affaire de sensation et de désir. Ce qui est aujourd'hui admis chez les femmes - la lente montée du désir, l'émotion, l'émoi, l'échauffement - ne l'est pas pour eux. Alors que l'abandon, le relâchement, le laisser glisser, eux aussi y ont droit! Et les préliminaires en font totalement partie. Maintenant, il faudrait aussi qu'ils osent dire ce qu'ils veulent et qu'ils n'aient pas peur de ne pas passer pour de vrais hommes en demandant plus de tendresse...»
CONTRE LA SOLITUDE
COMMENT FORMER UN COUPLE ?
On n 'a pas le même rytme
On est décalés... dans nos horaires
Un matin comme un autre. Le réveil sonne, on tente vaguement de le pulvériser, on renonce, puis on referme les yeux pour essayer de reprendre le fil de notre rêve (on était enroulée dans un rideau de douche, façon rouleau de printemps, George Clooney tirait sur un bout qui dépassait...). C'est le moment où notre chéri, hagard, beugle « mais tu as vu l'heure ? ». Lui, il l'a bien vue en tout cas : une demi-heure qu'il est rasé, douché, caféiné. Et trois fois (enfin, c'est ce qu'il dit, nous, on ne se rappelle pas) qu'il vient tenter de nous faire lever, là, tout de suite, si on ne veut pas encore devoir chercher une excuse minable en arrivant au boulot. C'est ainsi, et on l'a toujours su : Chéri est du matin, et nous du soir. Un temps, on a trouvé ça touchant. Quand il nous apportait le petit déj au lit, par exemple. On a déchanté quand on s'est rendu compte que ce décalage rejaillissait sur toute notre vie à deux : non seulement on est rarement synchrones côté sexe, mais en plus il ne conçoit pas les départs en vacances après six heures du mat (« sinon, c'est pas cinq heures qu'on va mettre pour arriver chez tes parents, c'est douze ! Déjà qu'on se les coltine une semaine... ») et il lui est arrivé de quasi mettre à la porte (« je ne vous chasse pas, hein, mais je vais me coucher ! ») les huit personnes qu'on avait invitées à dîner. Et quand on a essayé - rarement - de s'adapter l'un à l'autre, ça a toujours foiré. Le jour où il a voulu nous aider à préparer la réunion ultrastratégique du lendemain, et qu'il a piqué du nez vers 23 heures, on lui a hurlé un truc très moche, genre « quand on se couche avec les poules, on reste un loser ». « C'est qu'on ne peut vraiment pas, physiologiquement, se caler sur les horaires de l'autre, explique Bernard Geberowicz, thérapeute du couple. Nos rythmes dits circadiens (veille/sommeil, activité/repos) commandent toutes nos autres fonctions (respiratoires, cérébrales...). Les changer, c'est donc s'infliger une violence physique extrême. » Sans compter que notre rythme personnel vient aussi de notre famille : être du matin ou du soir, c'est en partie héréditaire (scientifiquement prouvé !), « et l'éducation qu'on a reçue renforce ces habitudes, reprend Bernard Geberowicz. On a tous entendu des injonctions du type "l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt" ou "pas d'heure pour les braves". Qu'on les ait intégrés ou combattus, ces principes sont devenus des convictions profondes, ancrées en nous. »
Conclusion ? On se fiche mutuellement la paix, chacun pratique ses activités en solo à l'heure où l'autre dort - ou fait l'huître sur le canapé. « Ca marche à condition qu'il existe une confiance mutuelle, et que chacun soit rassuré sur l'amour que lui porte l'autre, précise Jacqueline Sorbier, psychologue et psychanalyste. Si on prend le temps, régulièrement, de se dire et de se montrer qu'on s'aime, le temps passé séparément ne nuit pas au couple, il devient une source d'enrichissement. » Celles qui ont testé confirment : « Depuis que Fred a arrêté de se forcer à me suivre dans toutes les fêtes, lui qui n'aime que les marchés au petit matin, ça va beaucoup mieux entre nous, raconte Elsa, infirmière, 32 ans. On se ménage plein de moments ensemble dans la journée, on se raconte ce qu'on a fait séparément, personne ne se sent abandonné. On se parle peut-être même plus que certains couples qui restent tout le temps collés ! »
On n 'a pas le même rytme
On est décalés... dans nos horaires
Un matin comme un autre. Le réveil sonne, on tente vaguement de le pulvériser, on renonce, puis on referme les yeux pour essayer de reprendre le fil de notre rêve (on était enroulée dans un rideau de douche, façon rouleau de printemps, George Clooney tirait sur un bout qui dépassait...). C'est le moment où notre chéri, hagard, beugle « mais tu as vu l'heure ? ». Lui, il l'a bien vue en tout cas : une demi-heure qu'il est rasé, douché, caféiné. Et trois fois (enfin, c'est ce qu'il dit, nous, on ne se rappelle pas) qu'il vient tenter de nous faire lever, là, tout de suite, si on ne veut pas encore devoir chercher une excuse minable en arrivant au boulot. C'est ainsi, et on l'a toujours su : Chéri est du matin, et nous du soir. Un temps, on a trouvé ça touchant. Quand il nous apportait le petit déj au lit, par exemple. On a déchanté quand on s'est rendu compte que ce décalage rejaillissait sur toute notre vie à deux : non seulement on est rarement synchrones côté sexe, mais en plus il ne conçoit pas les départs en vacances après six heures du mat (« sinon, c'est pas cinq heures qu'on va mettre pour arriver chez tes parents, c'est douze ! Déjà qu'on se les coltine une semaine... ») et il lui est arrivé de quasi mettre à la porte (« je ne vous chasse pas, hein, mais je vais me coucher ! ») les huit personnes qu'on avait invitées à dîner. Et quand on a essayé - rarement - de s'adapter l'un à l'autre, ça a toujours foiré. Le jour où il a voulu nous aider à préparer la réunion ultrastratégique du lendemain, et qu'il a piqué du nez vers 23 heures, on lui a hurlé un truc très moche, genre « quand on se couche avec les poules, on reste un loser ». « C'est qu'on ne peut vraiment pas, physiologiquement, se caler sur les horaires de l'autre, explique Bernard Geberowicz, thérapeute du couple. Nos rythmes dits circadiens (veille/sommeil, activité/repos) commandent toutes nos autres fonctions (respiratoires, cérébrales...). Les changer, c'est donc s'infliger une violence physique extrême. » Sans compter que notre rythme personnel vient aussi de notre famille : être du matin ou du soir, c'est en partie héréditaire (scientifiquement prouvé !), « et l'éducation qu'on a reçue renforce ces habitudes, reprend Bernard Geberowicz. On a tous entendu des injonctions du type "l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt" ou "pas d'heure pour les braves". Qu'on les ait intégrés ou combattus, ces principes sont devenus des convictions profondes, ancrées en nous. »
Conclusion ? On se fiche mutuellement la paix, chacun pratique ses activités en solo à l'heure où l'autre dort - ou fait l'huître sur le canapé. « Ca marche à condition qu'il existe une confiance mutuelle, et que chacun soit rassuré sur l'amour que lui porte l'autre, précise Jacqueline Sorbier, psychologue et psychanalyste. Si on prend le temps, régulièrement, de se dire et de se montrer qu'on s'aime, le temps passé séparément ne nuit pas au couple, il devient une source d'enrichissement. » Celles qui ont testé confirment : « Depuis que Fred a arrêté de se forcer à me suivre dans toutes les fêtes, lui qui n'aime que les marchés au petit matin, ça va beaucoup mieux entre nous, raconte Elsa, infirmière, 32 ans. On se ménage plein de moments ensemble dans la journée, on se raconte ce qu'on a fait séparément, personne ne se sent abandonné. On se parle peut-être même plus que certains couples qui restent tout le temps collés ! »
DRAGUER
COMMENT DRAGUER
1. Point principal à ne jamais perdre de vue : la balle est dans son camp. Et ce, qu'il vous ait demandé votre numéro ou que vous lui ayez laissé un message ou encore envoyé un mail. C'est à lui de bouger... donc pas à vous !
2. Dans les heures qui suivent, la tentation va être grande de vérifier votre portable toutes les 17 secondes environ. C'est normal... et pas grave, alors on se l'autorise. Au fond, vous ne faites que vérifier ce que vous savez déjà : il n'appellera pas maintenant. C'est bien trop tôt selon les codes de la séduction... (en plus, vous seriez déçue qu'il morde si vite).
3. Le lendemain, vous entrez dans la phase plus corsée. Qui ne se gère que d'une seule façon : en pensant à autre chose.
4. Ciné, pot, resto, thé, papotage... Appelez un maximum de copines et sortez. Bref, occupez-vous l'esprit. Forcez-vous, cette étape est primordiale. Et pas question de parler de lui, c'est trop tôt : rappelez-vous, vous êtes censée ne plus y penser.
5. S'il n'a toujours pas rappelé le lendemain soir ou deux jours après, attaquez avec un mec « garde-fou ». On sait, c'est pas joli-joli mais hautement bénéfique. Un ex, un admirateur qui mijote depuis un moment, un nouveau qui vous dragouille : faitesvous belle et allez prendre un pot avec lui. Objectif : consolider votre capital séduction et votre confiance en vous.
6. Attention, ne tombez pas dans le panneau de la préannonce. En clair, ne vendez pas la peau de l'ours avant de l'avoir touché. Donc évitez de raconter à la terre entière que 1/ vous avez rencontré quelqu'un avec qui ça va coller, c'est sûr, ou 2/ qu'il y a un enfoiré qui ne vous rappelle pas. Attendez avant de rameuter les foules : quoiqu'il se passe ensuite, vous le regretteriez.
7. En revanche, vous pouvez prendre la tête d'une (et une seule) copine. Allez-y à fond : « Tu crois qu'il va rappeler ? » ; « En même temps, au dernier coup de fil, il a dit "bye" et pas "à très vite" » ; « Ouais mais quand même il est Bélier, je crois... ».
8. Tenez bon : virez d'entrée tous les prétextes - des plus farfelus (il a fait tomber son portable dans les toilettes) aux moins plausibles (il a été kidnappé par une tribu pygmée) - susceptibles de vous monter à la tête et de vous égarer. Bref, n'essayez pas de trouver n'importe quelle raison pour le rappeler.
9. Trois/quatre jours après : toujours rien. OK, on vous l'accorde, c'est dur. Voire mauvais signe. Mais n'oubliez jamais ce dicton : un mec qui ne rappelle pas est un mec qui ne rappelle pas ! Donc on passe au suivant.
10. Il se manifeste enfin. N'anticipez pas, genre « ah, c'est toi, j'y croyais plus... » (voire « t'es pas mort ? ») ou « ouais, qu'est-ce que tu veux ? ». Laissez- lui le temps de parler, c'est ce que vous attendiez.
Judith Pardo
1. Point principal à ne jamais perdre de vue : la balle est dans son camp. Et ce, qu'il vous ait demandé votre numéro ou que vous lui ayez laissé un message ou encore envoyé un mail. C'est à lui de bouger... donc pas à vous !
2. Dans les heures qui suivent, la tentation va être grande de vérifier votre portable toutes les 17 secondes environ. C'est normal... et pas grave, alors on se l'autorise. Au fond, vous ne faites que vérifier ce que vous savez déjà : il n'appellera pas maintenant. C'est bien trop tôt selon les codes de la séduction... (en plus, vous seriez déçue qu'il morde si vite).
3. Le lendemain, vous entrez dans la phase plus corsée. Qui ne se gère que d'une seule façon : en pensant à autre chose.
4. Ciné, pot, resto, thé, papotage... Appelez un maximum de copines et sortez. Bref, occupez-vous l'esprit. Forcez-vous, cette étape est primordiale. Et pas question de parler de lui, c'est trop tôt : rappelez-vous, vous êtes censée ne plus y penser.
5. S'il n'a toujours pas rappelé le lendemain soir ou deux jours après, attaquez avec un mec « garde-fou ». On sait, c'est pas joli-joli mais hautement bénéfique. Un ex, un admirateur qui mijote depuis un moment, un nouveau qui vous dragouille : faitesvous belle et allez prendre un pot avec lui. Objectif : consolider votre capital séduction et votre confiance en vous.
6. Attention, ne tombez pas dans le panneau de la préannonce. En clair, ne vendez pas la peau de l'ours avant de l'avoir touché. Donc évitez de raconter à la terre entière que 1/ vous avez rencontré quelqu'un avec qui ça va coller, c'est sûr, ou 2/ qu'il y a un enfoiré qui ne vous rappelle pas. Attendez avant de rameuter les foules : quoiqu'il se passe ensuite, vous le regretteriez.
7. En revanche, vous pouvez prendre la tête d'une (et une seule) copine. Allez-y à fond : « Tu crois qu'il va rappeler ? » ; « En même temps, au dernier coup de fil, il a dit "bye" et pas "à très vite" » ; « Ouais mais quand même il est Bélier, je crois... ».
8. Tenez bon : virez d'entrée tous les prétextes - des plus farfelus (il a fait tomber son portable dans les toilettes) aux moins plausibles (il a été kidnappé par une tribu pygmée) - susceptibles de vous monter à la tête et de vous égarer. Bref, n'essayez pas de trouver n'importe quelle raison pour le rappeler.
9. Trois/quatre jours après : toujours rien. OK, on vous l'accorde, c'est dur. Voire mauvais signe. Mais n'oubliez jamais ce dicton : un mec qui ne rappelle pas est un mec qui ne rappelle pas ! Donc on passe au suivant.
10. Il se manifeste enfin. N'anticipez pas, genre « ah, c'est toi, j'y croyais plus... » (voire « t'es pas mort ? ») ou « ouais, qu'est-ce que tu veux ? ». Laissez- lui le temps de parler, c'est ce que vous attendiez.
Judith Pardo
Après le mariage
Après le mariage
Après avoir connu une véritable embellie en 2000, le nombre des mariages diminue un peu et avoisine à présent les 280000. Toutefois, selon le sociologue Gérard Mermet, «ce mode de vie en couple garde la préférence des Français, malgré la hausse de l'union libre: 85% des adultes vivant en couple sont mariés et 58% des 18 et 35 ans ont l'intention de le faire.» Nombreux sont ceux qui se passent la bague au doigt avant de construire une famille.
3 questions au spécialiste Dr Sylvain Mimoun, gynécologue, andrologue, psychosomaticien.
1. A quoi tient le choix de l'élu?
La rencontre peut se faire par hasard, mais ce qui n'est pas du tout un hasard, c'est de rester avec quelqu'un. Pour dire les choses simplement, on ne choisit pas une personne parce qu'elle se montre agréable ou, au contraire, destructrice, mais certain(e)s constateront qu'à chaque fois qu'ils sont avec un «gentil», ils finissent par s'ennuyer alors qu'avec quelqu'un qui leur complique la vie, ils s'accrochent. Ces répétitions ont une motivation inconsciente, personnelle à chacun. On peut dire qu'un couple devient pérenne lorsque les deux attentes se répondent et «fonctionnent» ensemble.
2. Le mythe des sept ans au bout desquels le couple est en danger, c'est vrai?
Non. Le couple peut vaciller à chaque grand changement de la vie (venue d'un bébé, promotion, déménagement, etc.). Le vrai cap, c'est la période qui succède au désir (un an et demi à deux ans) suivi de la période d'attachement. Si la transition se fait mal, si on ne nourrit pas ce temps du désir d'autre chose, le couple peut se perdre.Il n'aura rien construit ensemble.
3. Pourquoi certains couples heureux en union libre se quittent aussitôt après le mariage?
C'est sans doute très oedipien. Ces couples ont le plus souvent une relation amoureuse et sensuelle intense. Le mariage les fait changer de statut. Le mari ou la femme incarne inconsciemment le père ou la mère. Il devient impossible alors de le désirer encore physiquement.
Rica Etienne
Après avoir connu une véritable embellie en 2000, le nombre des mariages diminue un peu et avoisine à présent les 280000. Toutefois, selon le sociologue Gérard Mermet, «ce mode de vie en couple garde la préférence des Français, malgré la hausse de l'union libre: 85% des adultes vivant en couple sont mariés et 58% des 18 et 35 ans ont l'intention de le faire.» Nombreux sont ceux qui se passent la bague au doigt avant de construire une famille.
3 questions au spécialiste Dr Sylvain Mimoun, gynécologue, andrologue, psychosomaticien.
1. A quoi tient le choix de l'élu?
La rencontre peut se faire par hasard, mais ce qui n'est pas du tout un hasard, c'est de rester avec quelqu'un. Pour dire les choses simplement, on ne choisit pas une personne parce qu'elle se montre agréable ou, au contraire, destructrice, mais certain(e)s constateront qu'à chaque fois qu'ils sont avec un «gentil», ils finissent par s'ennuyer alors qu'avec quelqu'un qui leur complique la vie, ils s'accrochent. Ces répétitions ont une motivation inconsciente, personnelle à chacun. On peut dire qu'un couple devient pérenne lorsque les deux attentes se répondent et «fonctionnent» ensemble.
2. Le mythe des sept ans au bout desquels le couple est en danger, c'est vrai?
Non. Le couple peut vaciller à chaque grand changement de la vie (venue d'un bébé, promotion, déménagement, etc.). Le vrai cap, c'est la période qui succède au désir (un an et demi à deux ans) suivi de la période d'attachement. Si la transition se fait mal, si on ne nourrit pas ce temps du désir d'autre chose, le couple peut se perdre.Il n'aura rien construit ensemble.
3. Pourquoi certains couples heureux en union libre se quittent aussitôt après le mariage?
C'est sans doute très oedipien. Ces couples ont le plus souvent une relation amoureuse et sensuelle intense. Le mariage les fait changer de statut. Le mari ou la femme incarne inconsciemment le père ou la mère. Il devient impossible alors de le désirer encore physiquement.
Rica Etienne
LA SOLITUDE
SOUVENT NOUS ENTENDONS : LA SOLITUDE C'EST TERRIBLE !
DERNIÈRES INFORMATIONS
On choisit un peu comme sur un catalogue
Le revers de la médaille, c'est la banalisation. Selon la psychothérapeute Saïdeh Reza, « les utilisateurs finissent par demander du sur-mesure, tout à fait dans l'esprit de la société de consommation ; ils essaient d'aller au plus près du "produit" recherché. »
Pour éviter cet écueil, quelques précautions s'imposent. « D'abord, se méfier des personnages fantasmatiques, prévient Sabrina Philippe. Les hommes grands, aux yeux verts, aux cheveux mi-longs et exerçant une profession libérale... ne sont pas légion ! » Il ne faut pas non plus tomber dans le piège de la dépendance. Inutile de dialoguer des nuits entières avec des milliers de célibataires ! Enfin, quand sonne l'heure de la rencontre réelle, il faut sortir du virtuel, se parler, puis se voir. Et le plus vite possible. « Car trop fantasmer sur quelqu'un, c'est déjà le dénaturer », explique Saïdeh Reza. Et là, on risque de manquer le rendez-vous.
Exit Minitel rose et agences matrimoniales !
C'est désormais sur Internet que se retrouvent les foules sentimentales. Parmi les quelque 12 millions de célibataires français, une personne sur deux aurait déjà fréquenté un site de rencontre, Meetic, Parship, Match ou Netclub. « Un chômeur va utiliser toutes les ressources du Web à sa disposition pour trouver du travail. Pourquoi ne ferait-on pas pareil pour trouver l'amour ? », résume Sabrina Philippe, psychologue pour Parship.
Anadema, lui, est un vieux routier de la rencontre électronique. Ses aventures sont en ligne sur son blog, depuis bientôt quatre ans. S'il s'est inscrit, il l'avoue, c'est parce qu'il n'est pas un « dragueur-né » : « Ces sites facilitent le premier pas, qui est souvent l'étape la plus délicate dans la vie. Ce n'est pas le dernier recours, mais plutôt une solution bis. » Histoire de mettre toutes les chances de son côté
dans la quête de l'âme soeur. Pour certains, l'amour avec un grand « A » est effectivement à portée de souris. Les sites commencent d'ailleurs à tenir leurs carnets roses
Renouer avec mon corps
Tous les corps ne sont pas parfaits au sens où nous l'entendons généralement, mais ils ont tous quelque chose de beau et de très sensuel. Et c'est aussi votre cas, pour peu que vous cessiez de vous observer à la loupe ! Il est important d'en prendre conscience, par exemple dans la salle de bains. Faites le test suivant. La prochaine fois que vous appliquerez une huile ou un lait corporel, fermez les yeux ou, mieux, éteignez la lumière. Puis laissez parler vos sens : une peau satinée, des rondeurs féminines, un parfum intime. De
quoi renouer en douceur avec son corps et le sentir exister de nouveau, avec plaisir.
NOS REMERCIEMENTS AUX :
Docteurs, Mesdames et Messieurs pour toutes ces informations.
Laure KARSENTI
Yasmine MEURISSE
A S BRUNET
Docteur PIERRA
Iingrid HABERFELD
Caroline HENRY
Laure MARCHAL
Delphine APIOU
Christine REGNIER
Sophie CALADEN
Docteur MIMOUN
DERNIÈRES INFORMATIONS
On choisit un peu comme sur un catalogue
Le revers de la médaille, c'est la banalisation. Selon la psychothérapeute Saïdeh Reza, « les utilisateurs finissent par demander du sur-mesure, tout à fait dans l'esprit de la société de consommation ; ils essaient d'aller au plus près du "produit" recherché. »
Pour éviter cet écueil, quelques précautions s'imposent. « D'abord, se méfier des personnages fantasmatiques, prévient Sabrina Philippe. Les hommes grands, aux yeux verts, aux cheveux mi-longs et exerçant une profession libérale... ne sont pas légion ! » Il ne faut pas non plus tomber dans le piège de la dépendance. Inutile de dialoguer des nuits entières avec des milliers de célibataires ! Enfin, quand sonne l'heure de la rencontre réelle, il faut sortir du virtuel, se parler, puis se voir. Et le plus vite possible. « Car trop fantasmer sur quelqu'un, c'est déjà le dénaturer », explique Saïdeh Reza. Et là, on risque de manquer le rendez-vous.
Exit Minitel rose et agences matrimoniales !
C'est désormais sur Internet que se retrouvent les foules sentimentales. Parmi les quelque 12 millions de célibataires français, une personne sur deux aurait déjà fréquenté un site de rencontre, Meetic, Parship, Match ou Netclub. « Un chômeur va utiliser toutes les ressources du Web à sa disposition pour trouver du travail. Pourquoi ne ferait-on pas pareil pour trouver l'amour ? », résume Sabrina Philippe, psychologue pour Parship.
Anadema, lui, est un vieux routier de la rencontre électronique. Ses aventures sont en ligne sur son blog, depuis bientôt quatre ans. S'il s'est inscrit, il l'avoue, c'est parce qu'il n'est pas un « dragueur-né » : « Ces sites facilitent le premier pas, qui est souvent l'étape la plus délicate dans la vie. Ce n'est pas le dernier recours, mais plutôt une solution bis. » Histoire de mettre toutes les chances de son côté
dans la quête de l'âme soeur. Pour certains, l'amour avec un grand « A » est effectivement à portée de souris. Les sites commencent d'ailleurs à tenir leurs carnets roses
Renouer avec mon corps
Tous les corps ne sont pas parfaits au sens où nous l'entendons généralement, mais ils ont tous quelque chose de beau et de très sensuel. Et c'est aussi votre cas, pour peu que vous cessiez de vous observer à la loupe ! Il est important d'en prendre conscience, par exemple dans la salle de bains. Faites le test suivant. La prochaine fois que vous appliquerez une huile ou un lait corporel, fermez les yeux ou, mieux, éteignez la lumière. Puis laissez parler vos sens : une peau satinée, des rondeurs féminines, un parfum intime. De
quoi renouer en douceur avec son corps et le sentir exister de nouveau, avec plaisir.
NOS REMERCIEMENTS AUX :
Docteurs, Mesdames et Messieurs pour toutes ces informations.
Laure KARSENTI
Yasmine MEURISSE
A S BRUNET
Docteur PIERRA
Iingrid HABERFELD
Caroline HENRY
Laure MARCHAL
Delphine APIOU
Christine REGNIER
Sophie CALADEN
Docteur MIMOUN
L'AMOUR
Information « HANDICAPZERO » que nous remercions
santé : actualités et services
Pilule et baisse du désir sexuel : est-ce lié ?
Pour certains médecins, le désir sexuel ne peut qu'augmenter sous pilule. En effet, les femmes, à l'abri d'une grossesse non désirée, ne s'angoissent plus à l'idée de faire l'amour et se sentent donc libérées d'un grand poids, laissant la place à leur élan sexuel pour se développer. Si cela n'est pas forcément faux, la réalité est toute autre.
En effet, 20 % à 40 % des femmes sous pilule rapportent observer une baisse de leur désir sexuel (1). Si certaines femmes disent ressentir un effet positif sur leur désir, elles sont deux fois moins nombreuses que celles qui constatent un effet négatif. D'autre part, ces femmes estiment souvent qu'elles sont gênées par la disparition des fluctuations de leur désir sexuel au cours de leur cycle.
Pourquoi cet effet négatif de la pilule sur le désir sexuel ?Le désir est en grande partie lié au taux de testostérone active circulant dans le sang. La testostérone qui passe pour une hormone mâle existe en effet aussi chez la femme, même si c'est à un taux moins élevé. Et elle est très importante pour la sexualité féminine.
Or, la pilule a tendance à diminuer le taux de testostérone active dans le sang.Et cela par plusieurs mécanismes : La pilule contraceptive diminue la fabrication de la testostérone par les ovaires, et cette diminution atteint les 50 %. Certaines pilules ont un effet " anti-testostérone " recherché volontairement pour combattre l'acné ou la pilosité. Et puis, la testostérone qui circule dans votre sang peut être inactivée par une protéine qui, en la captant, la rend inactive. Il s'agit de la SHBG (sex hormone binding globuline). La pilule augmente fortement le taux de cette SHBG. Suite à cette baisse de testostérone active, les femmes éprouvent une diminution de leur désir sexuel. Cela se traduit par une perte de réceptivité sexuelle (moins d'intérêt au désir de l'autre), par une diminution des fantasmes sexuels et de l'imaginaire érotique, une diminution des réactions sexuelles nocturnes (équivalent de l'érection nocturne chez l'homme, à savoir la lubrification nocturne), mais aussi par une perte de vitalité, une fatigue, et une diminution de la masse musculaire et de la forme physique. Cet ensemble de signes peut aller jusqu'à ressembler à une dépression. Dans le même sens, dans un groupe de femmes sous pilule présentant un trouble du désir, on s'apercoit que leur taux de testostérone active est beaucoup plus bas et leur taux de SHBG est beaucoup plus haut que chez les femmes sans difficultés sexuelles (2). Cependant, toutes les pilulespilules anti-testostérone basent leur publicité sur le fait qu'elles font une belle peau sans acné, ce qui est vrai. Mais le revers de la médaille est une baisse de désir, parfois totale, qui est très gênante et rarement signalée.
Alors, que faire si vous sentez une baisse de désir sexuel sous pilule ? Commencez par en parler à votre médecin pour faire un bilan et éventuellement changer de contraception. Vous avez alors le choix entre une pilule moins " anti-testostérone " ou un autre mode de contraception. (1) Rik HW van Lunsen MD, PhD Dept Sexology & Psychosomatic Gynecology Division Ob/Gyn Academic Medical Centre, University of Amsterdam, lors d'une intervention au Salon de gynécologie obstétrique pratique, 2007. (2) Warnock J K, Clayton A, Croft H, Segraves R, Biggs F C, Comparison of Androgens in Women with Hypoactive Sexual Desire Disorder: Those on Combined Oral Contraceptives (COCs) vs. Those not on COCs. J Sex Med 2006;3:878–882
Rubrique : Magazine
Journaliste : Dr Catherine Solano
santé : actualités et services
Pilule et baisse du désir sexuel : est-ce lié ?
Pour certains médecins, le désir sexuel ne peut qu'augmenter sous pilule. En effet, les femmes, à l'abri d'une grossesse non désirée, ne s'angoissent plus à l'idée de faire l'amour et se sentent donc libérées d'un grand poids, laissant la place à leur élan sexuel pour se développer. Si cela n'est pas forcément faux, la réalité est toute autre.
En effet, 20 % à 40 % des femmes sous pilule rapportent observer une baisse de leur désir sexuel (1). Si certaines femmes disent ressentir un effet positif sur leur désir, elles sont deux fois moins nombreuses que celles qui constatent un effet négatif. D'autre part, ces femmes estiment souvent qu'elles sont gênées par la disparition des fluctuations de leur désir sexuel au cours de leur cycle.
Pourquoi cet effet négatif de la pilule sur le désir sexuel ?Le désir est en grande partie lié au taux de testostérone active circulant dans le sang. La testostérone qui passe pour une hormone mâle existe en effet aussi chez la femme, même si c'est à un taux moins élevé. Et elle est très importante pour la sexualité féminine.
Or, la pilule a tendance à diminuer le taux de testostérone active dans le sang.Et cela par plusieurs mécanismes : La pilule contraceptive diminue la fabrication de la testostérone par les ovaires, et cette diminution atteint les 50 %. Certaines pilules ont un effet " anti-testostérone " recherché volontairement pour combattre l'acné ou la pilosité. Et puis, la testostérone qui circule dans votre sang peut être inactivée par une protéine qui, en la captant, la rend inactive. Il s'agit de la SHBG (sex hormone binding globuline). La pilule augmente fortement le taux de cette SHBG. Suite à cette baisse de testostérone active, les femmes éprouvent une diminution de leur désir sexuel. Cela se traduit par une perte de réceptivité sexuelle (moins d'intérêt au désir de l'autre), par une diminution des fantasmes sexuels et de l'imaginaire érotique, une diminution des réactions sexuelles nocturnes (équivalent de l'érection nocturne chez l'homme, à savoir la lubrification nocturne), mais aussi par une perte de vitalité, une fatigue, et une diminution de la masse musculaire et de la forme physique. Cet ensemble de signes peut aller jusqu'à ressembler à une dépression. Dans le même sens, dans un groupe de femmes sous pilule présentant un trouble du désir, on s'apercoit que leur taux de testostérone active est beaucoup plus bas et leur taux de SHBG est beaucoup plus haut que chez les femmes sans difficultés sexuelles (2). Cependant, toutes les pilulespilules anti-testostérone basent leur publicité sur le fait qu'elles font une belle peau sans acné, ce qui est vrai. Mais le revers de la médaille est une baisse de désir, parfois totale, qui est très gênante et rarement signalée.
Alors, que faire si vous sentez une baisse de désir sexuel sous pilule ? Commencez par en parler à votre médecin pour faire un bilan et éventuellement changer de contraception. Vous avez alors le choix entre une pilule moins " anti-testostérone " ou un autre mode de contraception. (1) Rik HW van Lunsen MD, PhD Dept Sexology & Psychosomatic Gynecology Division Ob/Gyn Academic Medical Centre, University of Amsterdam, lors d'une intervention au Salon de gynécologie obstétrique pratique, 2007. (2) Warnock J K, Clayton A, Croft H, Segraves R, Biggs F C, Comparison of Androgens in Women with Hypoactive Sexual Desire Disorder: Those on Combined Oral Contraceptives (COCs) vs. Those not on COCs. J Sex Med 2006;3:878–882
Rubrique : Magazine
Journaliste : Dr Catherine Solano
CONTRE LA SOLITUDE
CONTRE LA SOLTUDE
Souvent nous entendons : la solitude c'est terrible
Sans vouloir faire de PUB !
Depuis longtemps je connais Anne-Marie elle est SUPER gentille ? Dévouée, et surtout l'écoute de toutes les personnes.
J'en profite pour lui faire une grosse Bise.
http://www.handiclub.org
Souvent nous entendons : la solitude c'est terrible
Sans vouloir faire de PUB !
Depuis longtemps je connais Anne-Marie elle est SUPER gentille ? Dévouée, et surtout l'écoute de toutes les personnes.
J'en profite pour lui faire une grosse Bise.
http://www.handiclub.org
CONTRE LA SOLITUDE
CONTRE LA SOLTUDE
Souvent nous entendons : la solitude c'est terrible
Sans vouloir faire de PUB !
Depuis longtemps je connais Anne-Marie elle est SUPER gentille ? Dévouée, et surtout à l'écoute de toutes les personnes.
J'en profite pour lui faire une grosse Bise.
http://www.handiclub.org
Souvent nous entendons : la solitude c'est terrible
Sans vouloir faire de PUB !
Depuis longtemps je connais Anne-Marie elle est SUPER gentille ? Dévouée, et surtout à l'écoute de toutes les personnes.
J'en profite pour lui faire une grosse Bise.
http://www.handiclub.org
INFORMATION
AVEC NOS REMERCIEMENTS A '' AGEVILLAGE '' Particulièrement à Madame Florence LASNON
Le collectif "Combattre la solitude des personnes âgées" se réunit à Marseille
Première rencontre locale le 1er octobre 2007
"Quelle dynamique dans la lutte contre l'isolement des personnes âgées ?" sera le thème de la première rencontre locale du Collectif "Combattre la solitude des personnes âgées". Citoyens âgés, bénévoles et salariés associatifs, représentants des structures décentralisées de l'Etat , des services de l'action sociale, des caisses de retraite sont conviés à ce premier temps fort de rencontre.
Le collectif "Combattre la solitude des personnes âgées", dans le cadre de l'enquête Isolement et vie relationnelle qu'il a réalisé en 2006 , diffuse les paroles des 5000 personnes de pus de 60 ans qu'il a interrogées. Lire notre article.
FG
mis à jour le 24/09/2007
Le collectif "Combattre la solitude des personnes âgées" se réunit à Marseille
Première rencontre locale le 1er octobre 2007
"Quelle dynamique dans la lutte contre l'isolement des personnes âgées ?" sera le thème de la première rencontre locale du Collectif "Combattre la solitude des personnes âgées". Citoyens âgés, bénévoles et salariés associatifs, représentants des structures décentralisées de l'Etat , des services de l'action sociale, des caisses de retraite sont conviés à ce premier temps fort de rencontre.
Le collectif "Combattre la solitude des personnes âgées", dans le cadre de l'enquête Isolement et vie relationnelle qu'il a réalisé en 2006 , diffuse les paroles des 5000 personnes de pus de 60 ans qu'il a interrogées. Lire notre article.
FG
mis à jour le 24/09/2007