LE LOGEMENT

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BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

NOUVEAU !!!
Logement
Une aide à l'achat pour les professeurs mutés
Renseignements par é-mail ou courrier

BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

INFORMATION
Ascenseurs Un délai pour la rénovation
Afin d'éviter les chutes dramatiques dans les ascenseurs, une loi de 2003 planifiait d'ici à 2018 une rénovation complète de l'ensemble du parc. Les délais étant trop serrés, le gouvernement a d'abord renvoyé la première échéance à 2010, et vient de faire voter le report des deuxième et troisième tranches. Attendons ....

BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

Je recherche 'un logement. J'ai un enfant à charge et je suis actuellement sans emploi. Je pense que j'aurai droit à une aide au logement, mais je ne sais pas comment faire pour payer le dépôt de garantie que me demandera le propriétaire. Existe-t-il des aides pour cela ?
Il existe une aide (l'avance "Loca Pass") destinée à financer le dépôt de garantie. Cette aide est attribuée par les organismes du 1 % logement et peut bénéficier, au titre de leur résidence principale, à tous les locataires pour les contrats de location conclus depuis le 9 février 2008. Le plus simple est de consulter le site http://www.locapass.fr/ sur lequel vous trouverez tous les renseignements utiles. Sachez qu'il existe également une aide (la "garantie Loca Pass") qui consiste en une sorte de caution gratuite. Renseignements sur le site cité.
Bonne chance
BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

Suite à une nouvelle demande concenant un déménageur.
Avant de déménager demandez donc un conseil au : 0 800 010 020. ( 9 hà 19h )
J'ai bavardé avec eux ce matin, ils vous apporteront des informations importantes.

Chambre Syndicale du déménagement
73 avenue Jean- Lolive
93108 Montreuil cedex
http://www.csdemenagement.fr
BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

Question déjà posée
Puis-je exiger de mon propriètaire des volets roulants habitant au rez-de chausée
Non, il n'est pas obligé même si c'est pour éviter les cambriolages et améliorer votre sécurité.
Membre d'un conseil syndical, je m'aperçois qu'un bon bailleur le fait en général s'il tient à ses locataires.
Hélàs, il y en a qui en ont jamais assez .....
Un m'avait confié : l'appart, je m'en moque ce qui compte pour moi, c'est le chèque à la fin du mois......
BRIAND
jennys
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Re: LE LOGEMENT

Message par jennys »

Bonjour,

Puisque nous parlons de logement voilà deux ans maintenant que grâce à vous tous j'ai eu un logement neuf .
Mais à la date d'aujourd'hui toutes les malfason sont ressorti: fissure des murs partant du plafons jusqu'u sol , encadrement de fênetres qui part en morceaux,de plus depuis l'état des lieux ou nous avons constater que la porte de la salle de bains était gonflées avait pris l'eau ne ferme pas elle n'as toujours pas été changer bien que ce soit toujours sous garanti, le loyer qui augmente tout les 6 mois les bailleurs HLM prennent les locataires pour des moins que rien qui doivent s'estimer heureux.
L'autre jour lors du passage chez moi de la chargé clientélé pour voir que les joint de lino s'enleve me dit qu'il ne résiste pas aux lavages fréquent et qu'il était rare de voir le logement des locataires aussi propre que moi .

Vivement que je trouve un emploi fixe pour acheter ma maison mais bon je ne crois plus au péré noël depuis trés longtemps.

Sur ceux bisous à tous à bientôt
BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

Attention !!!
Vous voulez installer des panneaux solaires :
Il y en a qui seraient non conforme même dangereux...
Il est conseillé de multiplier les devis.
Renseignez-vous au 0 810 060 050 ( prix d'un appel local )
BRIAN
D
BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

POUR VOTRE INFORMATION

le crédit d’impôt photovoltaïque à 25% confirmé
 1 Octobre 2010


Lors du Conseil des Ministres du 29 septembre 2010, avec la présentation du projet de loi de finances 2011, il a été arrêté de nouvelles mesures pour le photovoltaïque.
Dès lors, il est proposé de diminuer de moitié le taux du crédit d’impôt sur le revenu en faveur des économies d’énergie et du développement durable pour les équipements de production d’électricité utilisant l’énergie radiative du soleil.

Ainsi, le taux applicable à ces équipements serait ramené de 50 % à 25 % pour les dépenses payées à compter du 29 septembre 2010.

Cela étant, les contribuables qui peuvent justifier de l’acceptation d’un devis et du versement d’un acompte à l’entreprise avant cette date continuent à bénéficier du crédit d’impôt au taux de 50 % : ainsi, la réduction du taux ne s’applique pas aux décisions déjà engagées.

À noter qu'à ce jour, il n'est pas encore précisé si une autorisation de financement est équivalente à un acompte, pour le bénéfice de la période transitoire.
 
BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

Energie - 17 septembre 2010

Le compteur électrique Linky en six questions


Linky va progressivement s’installer dans les foyers français. Mais ce nouveau compteur électrique «intelligent» suscite déjà beaucoup d’interrogations chez les consommateurs. 60 répond à leurs questions.
1- A quoi va me servir le compteur Linky ?
Le compteur Linky est un compteur d’électricité « évolué » ou « communicant », c’est-à-dire capable de mesurer précisément la consommation électrique d’un logement en temps réel et de transmettre automatiquement les données aux opérateurs d’énergie toutes les 10 à 30 minutes.
Ce système présente un triple avantage pour vous :
vous pourrez mieux évaluer votre consommation et la maîtriser. Selon ERDF, les économies d’énergie réalisées grâce à Linky pourraient être de l’ordre de 10 à 15 %. Des abonnements spécifiques pourront vous être proposés afin de coller au mieux à vos habitudes de consommation ;
vos factures ne seront plus établies sur des estimations approximatives. Les litiges liés à la facturation devraient diminuer ;
plus besoin d’attendre que le technicien passe pour relever votre compteur.
2- Quand sera-t-il installé chez moi ?
Si vous faites partie d’une des zones de test (régions de Lyon et de Tours), ERDF vous installera un compteur d’ici la fin de l’année 2010. Cette expérimentation devrait concerner à terme 300 000 compteurs et sera prolongée au moins jusqu’au 31 mars 2011 par une évaluation du système en période de froid.
Pour le reste du territoire, un décret du 2 septembre 2010 fixe le calendrier du déploiement. Tous les logements nouvellement raccordés au réseau électrique devront être équipés d’un compteur évolué à partir du 1er janvier 2012, «même en l’absence du déploiement des systèmes d’information ou de communication associés», ajoute le texte. En d’autres termes, les compteurs seront installés même s’ils ne communiquent pas encore, ou si les données recueillies ne peuvent pas être traitées en aval.
Progressivement, ce nouveau boîtier sera déployé dans toutes les régions. Fin 2020, il aura remplacé tous les anciens compteurs.
Face à la polémique suscitée au moment de la sortie en catimini du décret, le ministère de l’écologie semble vouloir réduire la portée du texte : «La généralisation des compteurs évolués […] ser[a] décidée par le gouvernement, uniquement à l’issue de la phase d’expérimentation», a-t-il indiqué le 15 septembre, avant de souligner que cette généralisation ne serait adoptée qu’en cas de résultat concluant. Mais l’hypothèse que le gouvernement fasse machine arrière paraît peu probable.
3- Puis-je refuser son installation ?
Non, le compteur électrique ne vous appartient pas. Il est la propriété des collectivités locales qui le concèdent au distributeur ERDF. Ce dernier est donc libre de le remplacer sans que vous puissiez vous y opposer.
4- Ce compteur est-il vraiment efficace et performant ?
Il est encore un peut tôt pout connaître le bilan des expérimentations menées dans la région de Tours et dans la région lyonnaise. Sur les 300 000 compteurs qui doivent être délivrés, moins de la moitié ont été installés pour l’heure.
Cependant, les premiers échos font état de difficultés : compteurs qui disjonctent trop facilement, fausses estimations, risque de panne en cas d’orage… Des critiques jugées «infondées» par les services de Jean-Louis Borloo.
5- Combien cela va-t-il me coûter ?
ERDF évalue le coût d’un compteur Linky entre 120 et 240 €. Mais vous ne paierez pas cette somme : «en aucun cas l’installation du compteur ne sera facturée au ménage concerné au moment de la pose» affirme le ministère.
L’opération est financée par le Tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité (Turpe), payé par les opérateurs. Ces derniers pourront alors augmenter la facture du consommateur de 1 ou 2 € par mois pour amortir le coût de l’installation sur 10 ans. Autrement dit, vous paierez, mais de façon indirecte.
6- Ce compteur n’est-il pas trop indiscret ?
«Les informations de consommation d'énergie transmises par les compteurs sont très détaillées et permettent de savoir beaucoup de choses sur les occupants d'une habitation, comme leur horaire de réveil, le moment où ils prennent une douche ou bien quand ils utilisent certains appareils (four, bouilloire, toaster…)» explique la Commission nationale informatique et libertés (Cnil).
Par ailleurs, les opérateurs peuvent agir à distance sur ces compteurs, notamment modifier la puissance de l'abonnement, voire couper l'alimentation électrique, via une interface web.
La Cnil demande aux distributeurs d'énergie d’apporter des garanties sérieuses sur la sécurisation des données et leur confidentialité.


Information 60MC
BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

Salon résidence bois à lyon 15 au 18 octobre 2010
De quoi satisfaire professionnels et particuliers

http://www.salon-residence-bois.com
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

Propriétaires, louez solidaire

Mise en ligne : 18 janvier 2011
ous êtes propriétaire d’un appartement situé en Ile-de-France, dans le Nord-Pas-de-Calais, dans les Pays de la Loire, en Rhône-Alpes, Languedoc-Roussillon ou Provence-Alpes-Côte d’Azur. Vous souhaitez le louer mais craignez les impayés. Pourquoi ne pas rejoindre Louez solidaire (à Paris) ou Solibail (dans les autres régions)  ?
Mis en place respectivement par la Ville de Paris et par l’Etat, les dispositifs Louez solidaire et Solibail sont destinés à encourager les propriétaires à louer à des personnes modestes en toute sécurité. Vous ne signez pas un bail avec un locataire, mais avec une association spécialisée dans l’habitat et le logement.
C’est elle qui se charge de la location et de la gestion de votre bien. C’est également elle qui est locataire et règle chaque mois les loyers et les charges, que le logement soit occupé ou non. Il n’y a donc aucun risque de loyers impayés.
Au terme du bail, de trois ou six ans, et si vous ne souhaitez pas le renouveler, il vous suffit d’informer l’association six mois avant la fin du bail. Vous n’avez aucun motif à donner et vous récupérez votre logement dans le même état qu’à la signature. L’association locataire qui gère le contrat assure la remise en état gratuite de l’appartement avant de vous le restituer. Elle effectue, en outre, l’ensemble des travaux incombant aux locataires pendant la durée du bail. L’association s’engage également à visiter régulièrement le logement pour voir si tout se passe bien et prend en charge l’assurance locative.

En tant que propriétaire bailleur, vous pouvez en outre bénéficier de déductions fiscales forfaitaires non négligeables sur vos loyers. Vous devez alors, parallèlement à la signature du contrat de location, signer une convention avec l’Anah par laquelle vous vous engagez à louer votre logement pendant six ans à des personnes ayant des ressources modestes et moyennant un loyer ne dépassant pas certains plafonds.
Si le logement loué nécessite des travaux d’amélioration, vous pouvez aussi demander une subvention auprès de l’Anah. Dans le cadre de la location solidaire, vous êtes presque certain d’obtenir une aide.
Qui sont vos locataires  ? Des ménages modestes mais bénéficiant d’un emploi et qui n’ont pu accéder à un logement dans le circuit classique. Solibail représente pour eux un sas de trois à dix-huit mois entre une structure d’urgence (hôtel social, foyer) et un logement pérenne. Ils participent financièrement au paiement du loyer en fonction de leurs revenus et signent un contrat d’hébergement avec l’association locataire. Celle-ci assure l’accompagnement social des familles.


Remerciements à '' VIVA PRESSE '' particulièrement Madame Anne-Marie Thomazeau


P.S. Louez solidaire : 0 800 50 05 45.
Solibail : 0820 15 15 15.

En savoir plus

Quel bien à quel prix  ?
L’appartement doit avoir une superficie habitable d’au moins 16 mètres carrés. En 2010, le loyer mensuel hors charges ne devait pas dépasser 17,37 €/m2 pour les logements situés à Paris et petite couronne, et 11,35 €/m2 pour ceux situés dans le reste de l’Ile-de-France ou en province.

«  Une bonne formule  »
«  Je loue via Solibail un appartement à Corbeil-Essonnes. C’est une excellente formule qui me permet d’avoir un locataire “garanti”. Je n’ai pas eu besoin de prendre d’assurance contre les impayés. Je trouve ce dispositif juste et équitable et suis ravi d’avoir fait ce choix.  » Jean-Baptiste Poncet, propriétaire
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

INFORMATION

Prime à la casse


Après la prime à la casse pour les chaudières à gaz lancée en mars dernier, c'est au tour des chaudières au fioul de bénéficier d'une prime similaire, les montants des deux dispositifs étant d'ailleurs très semblables. D'ici début mai et pendant 5 ans, les possesseurs d'un appareil de plus de 15 ans pourront recevoir au minimum 100 euros pour l'achat d'une chaudière basse température et 250 euros pour une chaudière à condensation au fioul. Le prix d'achat de ce type d'équipement se situe entre 3 000 et 6 000 .

Cette prime sera financée par les professionnels de la distribution du fioul qui ont adhéré au dispositif (une liste sera tenue à jour sur le site Internet du ministère de l'énergie, a annoncé le ministre éric Besson). Ils devront verser cette prime directement à leurs clients en une fois ou sous la forme d'un avoir sur trois livraisons de fioul maximum.

Quelque 4 millions de foyers (15 % des résidences principales) se chauffent au fioul domestique, ce coup de pouce représente donc une opportunité intéressante de renouveler sa chaudière pour un appareil plus performant et moins polluant. Mais un peu de recul permet, hélas, d'en atténuer très fortement la portée.

Rappelons d'abord qu'en 2010, le gouvernement n'a pas reconduit la prime à la cuve qui était versée aux ménages non imposables utilisant le fioul domestique. Cette prime de 200 représentait pourtant une aide non négligeable pour les foyers aux revenus modestes. Autre reculade gouvernementale : les incitations fiscales accordées aux équipements et aux travaux qui permettent de réaliser des économies d'énergie. Le crédit d'impôts pour une chaudière à condensation est ainsi passé de 25 % (en 2009) à 13 % depuis le 1er janvier de cette année.

Mais surtout, cette prime à la casse sera noyée dans le torrent des augmentations des tarifs énergétiques. Fioul, gaz, électricité, essence... les hausses des prix vont devenir vertigineuses dans les mois et les années à venir. Le dernier rapport sur les tarifs de l'électricité remis il y a quelques jours au gouvernement ne dit pas autre chose (lire notre article).

Remerciements à '' HANDICAPZERO '' LE 21 AVRIL 2011
BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

Logement

Les Français dépensent de plus en plus pour se loger. C'est la leçon générale tirée par l'Insee de trois études rendues publiques le 17 mai. Par rapport à 1998, les prix de l'immobilier ont augmenté de 141 % en France. Et par rapport au revenu disponible des ménages (c'est-à -dire après impôt), ils ont augmenté de plus de 40 % sur la même période. Les loyers ont été beaucoup plus sages, suivant à peu près la même pente que les revenus. Ces derniers temps, ils ont augmenté un peu plus vite dans le parc public que dans le secteur libre. Depuis 2006, en effet, les hausses en cours de bail dans le privé sont strictement encadrées par un nouvel indice qui prend en compte les prix à la consommation. Dans le parc public, au contraire, les bailleurs appliquent des surloyers plus sévères que dans le passé.

Cette hausse rapide des prix d'achat par rapport à celle des loyers fait qu'il est peu intéressant aujourd'hui d'acheter pour louer. Alors que l'investissement locatif n'a jamais été autant encouragé par les pouvoirs publics, le rendement annuel des loyers est descendu à 4,6 % de la valeur d'achat du bien en 2006, contre 7,4 % en 1996 ! Et il s'agit d'un chiffre brut, avant paiement des impôts locaux et autres charges par le propriétaire. Aux prix d'achat actuels, le rendement réel d'un investissement locatif est très probablement inférieur à 4 %.
Se chauffer et s'éclairer

Globalement, entre 1996 et 2006, le taux d'effort des ménages, c'est-à -dire la part de leur revenu consacré au logement, est passée de 16,8 % à 17,5 %. Dans le cas des propriétaires, cette hausse relativement modeste s'accompagne souvent de durées d'emprunt plus longues que par le passé. L'Insee relève toutefois que les ménages français sont très raisonnables en ce qui concerne leur endettement par rapport au Américains, aux Britanniques ou aux Espagnols.

Le taux d'effort pour le logement englobe les loyers ou les remboursements, mais aussi le chauffage. L'Insee s'est penché sur le phénomène de la précarité énergétique. Elle est mesurée en comptabilisant les personnes qui déclarent avoir souvent froid à leur domicile, ou celles qui dépensent plus de 10 % de leur revenu pour se chauffer. Avec la première méthode, 3,5 millions de ménages sont en situation de précarité énergétique. Avec la seconde méthode, ils sont 3,8 millions. Le cas le plus préoccupant est celui des 621 000 ménages qui apparaissent dans les deux catégories : ils dépensent beaucoup pour se chauffer mais souffrent quand même du froid. On les trouve dans les couches défavorisées. Majoritairement locataires (dans le social autant que dans le privé), ils dépensent des sommes considérables par rapport à leur revenu pour maintenir un semblant de confort dans des passoires énergétiques. Ils se chauffent à 48 % à l'électricité, contre 33 % seulement des Français en moyenne. Compte tenu des hausses programmées des tarifs du kilowattheure, compte tenu du fait qu'il est difficile de forcer les bailleurs à faire des travaux d'isolation, il reste à leur souhaiter que les prochains hivers ne soient pas trop rudes.

Date : Mercredi 18 Mai 2011


Avec nos remerciements à HANDICAZERO pour cette information
BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

Logement

Les Français dépensent de plus en plus pour se loger. C'est la leçon générale tirée par l'Insee de trois études rendues publiques le 17 mai. Par rapport à 1998, les prix de l'immobilier ont augmenté de 141 % en France. Et par rapport au revenu disponible des ménages (c'est-à -dire après impôt), ils ont augmenté de plus de 40 % sur la même période. Les loyers ont été beaucoup plus sages, suivant à peu près la même pente que les revenus. Ces derniers temps, ils ont augmenté un peu plus vite dans le parc public que dans le secteur libre. Depuis 2006, en effet, les hausses en cours de bail dans le privé sont strictement encadrées par un nouvel indice qui prend en compte les prix à la consommation. Dans le parc public, au contraire, les bailleurs appliquent des surloyers plus sévères que dans le passé.

Cette hausse rapide des prix d'achat par rapport à celle des loyers fait qu'il est peu intéressant aujourd'hui d'acheter pour louer. Alors que l'investissement locatif n'a jamais été autant encouragé par les pouvoirs publics, le rendement annuel des loyers est descendu à 4,6 % de la valeur d'achat du bien en 2006, contre 7,4 % en 1996 ! Et il s'agit d'un chiffre brut, avant paiement des impôts locaux et autres charges par le propriétaire. Aux prix d'achat actuels, le rendement réel d'un investissement locatif est très probablement inférieur à 4 %.
Se chauffer et s'éclairer

Globalement, entre 1996 et 2006, le taux d'effort des ménages, c'est-à -dire la part de leur revenu consacré au logement, est passée de 16,8 % à 17,5 %. Dans le cas des propriétaires, cette hausse relativement modeste s'accompagne souvent de durées d'emprunt plus longues que par le passé. L'Insee relève toutefois que les ménages français sont très raisonnables en ce qui concerne leur endettement par rapport au Américains, aux Britanniques ou aux Espagnols.

Le taux d'effort pour le logement englobe les loyers ou les remboursements, mais aussi le chauffage. L'Insee s'est penché sur le phénomène de la précarité énergétique. Elle est mesurée en comptabilisant les personnes qui déclarent avoir souvent froid à leur domicile, ou celles qui dépensent plus de 10 % de leur revenu pour se chauffer. Avec la première méthode, 3,5 millions de ménages sont en situation de précarité énergétique. Avec la seconde méthode, ils sont 3,8 millions. Le cas le plus préoccupant est celui des 621 000 ménages qui apparaissent dans les deux catégories : ils dépensent beaucoup pour se chauffer mais souffrent quand même du froid. On les trouve dans les couches défavorisées. Majoritairement locataires (dans le social autant que dans le privé), ils dépensent des sommes considérables par rapport à leur revenu pour maintenir un semblant de confort dans des passoires énergétiques. Ils se chauffent à 48 % à l'électricité, contre 33 % seulement des Français en moyenne. Compte tenu des hausses programmées des tarifs du kilowattheure, compte tenu du fait qu'il est difficile de forcer les bailleurs à faire des travaux d'isolation, il reste à leur souhaiter que les prochains hivers ne soient pas trop rudes.

Date : Mercredi 18 Mai 2011


Remerciements à toute l'équipe formidable d' HANDICAPERO
BRIAND
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Re: LE LOGEMENT

Message par BRIAND »

Les aides au logement augmentent

En ligne : 4 août 2011

Conséquence décalée de la crise, les dépenses d’aide au logement augmentent, constate le journal .... « La prise en compte, pour le calcul des aides, des revenus de 2009, qui ont fortement ralenti du fait de la crise économique, expliquerait une partie de cette accélération des dépenses en 2011 », explique le rapport remis à la commission des comptes de la Sécurité sociale en juin.
Les dépenses en matière d’Aide personnalisée logement (Apl), d’Allocation de logement sociale (Als) et d’Allocation de logement familiale (Alf) devraient augmenter de 2,6 % cette année et ainsi dépasser les 16,4 milliards d’euros. En 2010, la hausse était de 1,7 %.
Autre raison de cette hausse : les aides sont « réactives à l’évolution du chômage ». « Lorsque le titulaire d’une allocation est au chômage deux mois de suite, ses ressources sont abattues de 30 % pour le calcul des aides », précise le quotidien. Enfin, les loyers plafonds à ne pas dépasser pour bénéficier des prestations « ont augmenté significativement » en 2011, « ce qui jouerait à la hausse sur les montants versés ».
Parmi les 6 millions de bénéficiaires, 58 % n’ont pas d’enfant à charge et 71 % d’entre eux vivent isolés. Près d’un tiers sont inactifs et 12 % sont au chômage.
Le rapport note que les plafonds de ressources à ne pas dépasser pour prétendre aux aides sont « particulièrement peu élevés » : une personne isolée ne bénéficie plus d’aide au logement dès que son revenu est supérieur à 1,2 Smic, une famille avec trois enfants bénéficie des aides jusqu’à 2,5 Smic, un couple sans enfant ne perçoit plus de prestation à partir de 1,4 Smic.

Remerciements à '' VIVA PRESSE '' pour cette information
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