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Re: INFORMATIONS SANTE

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Le syndrome de Gougerot-Sjögren :

Le syndrome de Gougerot-Sjögren (SGS) est une maladie auto-immune (l'organisme lutte contre lui-même) qui touche 200.000 personnes en France. Il se caractérise par une sécheresse de toutes les muqueuses (oculaire, buccale, digestive, vaginale) et est souvent associé à une polyarthrite chronique responsable de vives douleurs articulaires.

Une maladie méconnue dont les symptômes sont très divers ...

Sécheresse des yeux, de la bouche, douleurs articulaires, grande fatigue... Le syndrome de Gougerot-Sjögren est une maladie difficile à diagnostiquer et touche 2 personnes sur 1000, essentiellement des femmes.
Ne menaçant ni la vie, ni la vue, le syndrome de Gougerot-Sjögren n'est pas considéré comme grave. Pourtant, il peut déclencher de grandes souffrances et de multiples complications qui vont de la parondose au risque de lymphomes accrus.................
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42 % des spécialistes français pratiquent des dépassements d'honoraires

© Patrick ALLARD/REA
La Caisse nationale d'assurance-maladie (Cnam) vient de dévoiler les chiffres des dépassements d'honoraires en France. En 2012, les spécialistes les pratiquant étaient près de 23. 000, soit 42,4 % d'entre eux. Ce pourcentage augmente sans cesse depuis dix ans et compromet gravement l'accès aux soins.
En tête des dépassements : les chirurgiens ; ils sont 79 % à les pratiquer, les gynécologues-obstétriciens 65 %, les Orl 59 % et les ophtalmologues 56 %. C'est à Lyon, en Alsace et en Ile-de-France que ces dépassements sont les plus élevés, avec une moyenne de 80 % au-dessus des tarifs de la Sécurité sociale.
Le « Contrat d'accès aux soins », prévu par l'avenant n°8 à la convention médicale, signé en octobre entre l'assurance-maladie, les syndicats de mé­decins et les complémentaires santé engage les spécialistes qui y souscrivent à geler leurs tarifs pendant trois ans en contrepartie d'allègements de leurs cotisations sociales et de revalorisations tarifaires. Seuls 5 000 médecins ont pour l'instant adhéré à ce contrat. Il en faudrait 3 000 de plus le 1er octobre prochain.


Par Anne-Marie Thomazeau [27-06-2013]  
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Ondes : les personnes électrosensibles réclament une prise en charge

Le 27 juin, le collectif des électrohypersensibles aux ondes et l'association Priartem ont été reçus au ministère de la Santé pour affirmer qu'il y a « urgence » à prendre en charge les personnes sensibles aux ondes électromagnétiques émises par les antennes relais et les téléphones portables.

Des appels au secours chaque jour

« L'aggravation de la situation est très nette. Nous recevons chaque jour des appels au secours de personnes qui ne savent pas où se réfugier, comment se soigner, comment faire prendre en compte leur situation par la sécurité sociale, leur employeur... Nous recevons, désormais, des appels de parents d'enfants électrosensibles qui ne peuvent plus aller à l'école, constate le collectif. Que va-t-il se passer avec le déploiement de la 4G, la Wifi qui gagne toujours plus de terrain, les tablettes sans fil dès l'école maternelle ? »

Les associations demandent au ministère de la Santé de ne pas « attendre que la science fournisse des certitudes pour agir » et lui propose de désigner un référent mandaté par lui pour élaborer et engager un plan d'actions concrètes destiné à « mettre à l'abri » les personnes les plus atteintes et à « préserver leur insertion sociale ».

De fait, précise le collectif,« les technologies sans fil étant omniprésentes et se déployant de manière exponentielle, les plus atteints sont contraints de fuir la modernité, voire de vivre dans les rares zones sans brouillard électromagnétique », appelées « zones blanches ».

"Nous avons besoin d'études sérieuses"

Elles souhaitent également que « toute la lumière soit faite sur l'étude Cochin », mise en place l'année dernière et pilotée par l'AP-HP et pour laquelle aucun protocole clairement défini n'a été communiqué.« Nous demandons le protocole complet pour connaître la justification de l'étude avec sa bibliographie, ses objectifs, les méthodes et matériels utilisés, le traitement des données... Le but de l'étude est d'évaluer la prise en charge mais on ne connaît ni la nature de cette prise en charge ni les critères pour évaluer un éventuel bénéfice », pointe le collectif qui a surtout le sentiment que cette étude « sert à enterrer le problème » alors que « nous avons besoin d'études sérieuses ».

Pour Janine Le Calvez, présidente de Priartem, la situation mérite des éclaircissements : « Les électrosensibles mais aussi l'ensemble de la société ont besoin de transparence et de confiance sur cette question. Nous avions fait des propositions au ministre de la Santé dès le lancement de l'étude pour garantir déontologie et concertation aussi bien dans le domaine de la recherche que la prise en charge, sans réponse à ce jour ».

En Allemagne, l'électrosensibilité est reconnue

Le collectif souligne qu'en Allemagne, l'hyperélectrosensibilité aux ondes vient d'être inscrite dans la liste officielle des pathologies. Une étude finlandaise conclut, quant à elle, à l'inefficacité des médicaments et des psychothérapies pour traiter ce trouble. En France, on continue à prendre les victimes des ondes pour des « fous ».

Brigitte Bègue [28-06-2013]
C'est une information '' VIVA ''
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Rappel de bocaux d'olives noires pour cause de risque de botulisme

Par AFP le 28 juin 2013
Des bocaux d'olives noires de la marque "l'atelier de Charlotte", commercialisées sur des marchés de Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA) et susceptibles d'avoir été achetées par des touristes, ont été rappelées à cause d'un risque de botulisme, a annoncé vendredi la préfecture des Alpes-de-Haut-Provence.
Toute personne ayant acheté ces bocaux, reconnaissables à leur sceau de cire argenté, est invitée à les rapporter ou à les détruire.
Celles présentant des signes cliniques comparables avec ceux du botulisme (vision floue, sécheresse de la bouche accompagnée d'un défaut de déglutition voire d'élocution, faiblesse musculaire) doivent consulter leur médecin, précise encore la préfecture.

Sources AFP et Notre Temps
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RHUMATO: L’Europe suspend l’autorisation du Myolastan

Actualité publiée il y a 7h22mn
Le Myolastan et ses génériques (tétrazépam), indiqués dans le traitement des contractures douloureuses en rhumatologie viennent de faire l’objet d’une décision de suspension, dans tous les Etats Membres de l’Union européenne, et à l'initiative de l'Agence française du médicament (ANSM), en raison de risques de réactions cutanées rares mais parfois mortelles. L'ANSM informe qu’en France, cette suspension sera effective à partir du 8 juillet 2013, avec un rappel des lots disponibles sur le marché français à cette date.

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Les faux médicaments achetés sur le web !

Les contrefaçons touchent tous les domaines. Bien qu’on parle plus souvent des trafics de fausses cigarettes et de vêtements de luxe, les trafics de faux médicaments concerneraient 6% du marché de la contrebande selon les rapports de l’Organisation Mondiale de la Santé. Un rapport qui révèle aussi qu’il y aurait 7 millions de consommateurs de ces médicaments en France (77 millions dans le monde).

Il est évidemment très tentant de les acheter directement en ligne pour diverses raisons : les prix défient toute concurrences et ne nécessitent aucunes ordonnances signées d’un médecin. Leur copie quasi-parfaite des emballages et de la forme des comprimés trompe facilement le malade. Pourtant ces « médicaments » n’ont pour la plupart aucuns effets dans le traitement des symptômes et peuvent même parfois engendré la mort par leurs compositions à base de produits extrêmement toxiques (certains sont parfois composés de mort au rat ou de plâtre!).

Les chiffres rapportent qu’entre 50 et 90 % des médicaments vendus sur internet sont des faux.

Face à la gravité des chiffres certains grands groupes pharmaceutiques tapent du poing sur la table pour stopper ce qui représente pour eux un véritable fléau, mais aussi un gigantesque manque à gagner. En 2010, les douanes de 53 pays différents avaient saisi plus de 8 millions de comprimés copié à l’identique de ceux fabriqué par le laboratoire Pfizer. Depuis cette société s’est lancée dans une campagne de sensibilisation sur la toile afin de lutter activement contre cette économie souterraine. Le géant de la pharmaceutique s’est aussi décidé à collaborer avec les autorités des différents pays afin d’aider à l’identification des faux médicaments.


Information Public Santé 03/07/2013 | R.Delvolve
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Urgences médicales : en Europe, faites le 112
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L'avis des patients sur les urgences le Mardi 9 Juillet 2013 à 14:45

Les urgences sont traditionnellement encombrées, et l'été la situation peut y être encore plus critique. En 2012, 17,5 millions de personnes sont passées par les urgences. "Que Choisir" en a interrogé certaines d'entre elles pour connaître leur niveau de satisfaction par rapport à ces services.

En 2012, 17,5 millions de personnes sont passées par les urgences. © Radio France - Gilles Halais

Le questionnaire de satisfaction a été retourné par plus de 3.200 lecteurs de Que Choisir qui ont essentiellement fréquenté les urgences des hôpitaux publics. Le taux de satisfaction atteint 77 %. Un score moyen. Les lecteurs devaient aussi donner une opinion par critères : l'accueil, la "qualité" du personnel, les informations médicales données, ou encore la prise en charge. Certains résultats restent très moyens et même faibles. Cependant, ils sont en progression par rapport à la précédente enquête de Que Choisir sur les urgences qui remonte à 2009.
L'accueil et l'attente à améliorer

L'accueil et l'attente restent un des points noirs aux urgences. Il n'est effectivement pas rare de devoir attendre plus de deux heures avant d'être pris en charge par un médecin. Selon notre enquête, quatre patients sur dix se plaignent d'une attente trop longue. Pourtant, des initiatives ont été prises pour tenter d'améliorer les choses : dans de nombreux services, un infirmier ou une infirmière d'accueil procède à un rapide interrogatoire et un examen rapide (prise de la tension, notamment) du patient. Puis celui-ci retourne en salle d'attente. Si cela ne réduit pas les délais pour voir ensuite un médecin, au moins les usagers peuvent avoir le sentiment que l'on s'est vite occupé d'eux.

Aux urgences, il faut le rappeler c'est l'état du malade qui détermine l'ordre de passage et pas l'horaire d'arrivée ou le moyen par lequel on y est allé. Ainsi, être amené par les pompiers ne signifie pas que l'on passera devant tout le monde.

Un problème plus profond

L'une des grandes explications aux maux des urgences, c'est la carence de la médecine de ville. Des zones sont abandonnées par les médecins généralistes ou spécialistes, à tel point que l'on parle de déserts médicaux. Quand il y a des médecins, ils ne sont plus forcément aussi disponibles la nuit. Si les usagers vont facilement aux urgences c'est aussi parce qu'ils savent qu'ils peuvent être hospitalisés dans la foulée si leur état le nécessite, qu'ils pourront y subir les examens nécessaires sur place et aussi parce que c'est quasiment gratuit.

L'organisation de l'hôpital explique aussi cet engorgement chronique. Les urgentistes s'épuisent à trouver des lits en aval, dans les autres services hospitaliers. Des mesures ont récemment été prises par le ministère de la Santé pour mieux organiser la gestion des lits en aval avec l'apparition de "bed managers", des personnels dédiées à cette tâche. Mais pour de nombreux urgentistes, c'est un gadget qui ne résoudra rien. Pour guérir les urgences, c'est tout une politique de santé qui doit être examinée en se donnant des objectifs réalistes de trois à cinq ans.
Des soins non négligés

C'est plutôt l'un des bons scores de notre enquête de satisfaction : 81 % des 3.200 lecteurs interrogés estiment que les soins et le diagnostic étaient corrects. Mais Que Choisir a doublé cette enquête statistique par une enquête plus qualitative en sollicitant ses lecteurs pour qu'ils racontent leurs expériences avec les urgences. Dans les deux-tiers des cas, ces témoignages sont plutôt négatifs.

Parmi eux, beaucoup concernent des personnes âgées qui attendent plusieurs heures sur un brancard, abandonnées à leur sort. Leur état se dégradant, leur famille ou leur maison de retraite s'en est débarrassées aux urgences, où elles n'ont rien à y faire. Et une fois que ces séniors à la santé précaire y sont arrivés, les médecins urgentistes peinent à leur trouver une solution d'accueil.


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Des pesticides interdits retrouvés dans des fraises
Créé le 09/07/2013 à 18h34 -- Mis à jour le 09/07/2013 à 18h37

Paris - Des résidus de pesticides interdits ont été retrouvés dans des fraises cultivées en France et en Espagne, selon une étude de l'ONG française Générations futures, qui appelle à «une action forte pour faire rapidement cesser cette situation».
Dans un communiqué publié mardi Générations futures annonce avoir fait analyser 49 échantillons de fraises venues de France et d'Espagne et vendues dans des magasins de Picardie et de Haute-Normandie et a découvert que 4 de ces échantillons contenaient des pesticides interdits en Europe depuis plusieurs années et 5 autres échantillons comprenaient des pesticides interdits sur les fraises..............


Deux échantillons français contenaient de l'endosulfan, un insecticide interdit en Europe depuis 2005 et deux échantillons espagnols avaient du carbosulfan, insecticide interdit depuis 2007.....


INFORMATION " 20 MINUTES ''

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Libéralisation de l'automédication jeudi 11 juillet 2013 à 12h51

A la veille de l'entrée en vigueur de la vente en ligne de médicaments sans ordonnance, et alors que l'Autorité de la Concurrence a, hier, relancé le débat sur la libéralisation de l'automédication, l'UFC–Que Choisir demande au Gouvernement de prendre position et appelle les parlementaires à inscrire la libéralisation de l'automédication dans le Projet de Loi Consommation.

LA CONCURRENCE VIENDRA DE LA VENTE PAR DES PHARMACIENS EN PARAPHARMACIES ET GRANDES SURFACES


A partir du 12 juillet, les consommateurs pourront acheter leurs médicaments sans ordonnance via le site internet d'une pharmacie d'officine. Mais contrairement aux annonces gouvernementales, cette mesure ne suffira pas à faire diminuer sensiblement les prix sur un marché qui en aurait pourtant bien besoin : ces achats sont en forte croissance (+ 3,2 % en 2012)(1) et représentent une dépense annuelle de 2,2 milliards d'euros.

Maintenus dans l'ignorance de la liberté tarifaire, les consommateurs paient aujourd'hui au prix fort l'insuffisante concurrence entre officines. Les médicaments sans ordonnance sont vendus à des tarifs allant de 1 à 4 (de 1,30 € à 4,95 € pour l'aspirine UPSA Vitamine C 330 mg)(2). Et ces écarts sont parfois constatés entre deux pharmacies géographiquement très proches l'une de l'autre !

Pour dynamiser ce marché, il est aujourd'hui indispensable d'ouvrir la distribution des médicaments sans ordonnance aux parapharmacies et grandes surfaces, sous le contrôle effectif d'un pharmacien. Selon une étude de l'UFC–Que Choisir, cette mesure permettrait en effet d'améliorer l'accès financier mais aussi géographique aux soins:

Accès financier : une économie pour les consommateurs pouvant atteindre 16% de leurs dépenses d'automédication (soit 269 millions € par an);
Accès géographique : une extension du réseau de distribution, avec 10% de points de vente supplémentaires.

LA FIN DU MONOPOLE DES OFFICINES N'EST PAS LA FIN DU MONOPOLE DES PHARMACIENS !


La libéralisation, en œuvre aujourd'hui dans une majorité des pays d'Europe de l'Ouest, doit se faire dans les mêmes conditions de sécurité pour le consommateur qu'en officine. Cela implique que la vente s'effectue sous le contrôle permanent d'un pharmacien, et dans des espaces dédiés. Les exemples européens montrent en outre que la libéralisation n'entraîne pas de hausse de la consommation de médicaments.

LA LIBERALISATION NE METTRA PAS LES OFFICINES EN LIQUIDATION


D'un impact limité sur la profitabilité des officines (le profit moyen ne baisserait que de 5 % au maximum, et resterait supérieur à 100 000 € par an), la libéralisation ne portera pas atteinte à la couverture officinale du territoire, notamment rurale. De plus, au-delà des avantages pour les consommateurs, cette mesure pourrait créer de nouveaux emplois.

L'UFC–Que Choisir se félicite du débat relancé par l'Autorité de la Concurrence sur l'opportunité de libéraliser la distribution de l'automédication, et appelle les Parlementaires à consacrer enfin le principe de libéralisation dans la loi. A cette fin, elle les invitent à amender le Projet de loi Consommation, pour permettre un accès élargi et moins coûteux aux médicaments sans ordonnance, ainsi qu'aux produits « frontières ».

(1) Baromètre AFIPA 2012
(2) D'après une enquête menée dans 648 pharmacies en janvier 2012 par l'UFC-Que Choisir

INFORMATION '' QUE CHOISIR '' et '' HANDICAPZERO ''
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POUR INFORMATION

Trois personnes portent plainte contre l'aluminium dans les vaccins

Trois personnes atteintes d'une myofasciite à macrophages qu'elles associent à la présence d'aluminium dans les vaccins, ont porté plainte jeudi 11 juillet. Leur maladie, décrite dans The Lancet par le Pr Romain Ghérardi, directeur de recherche à l'hôpital Henri Mondor de Créteil, se caractérise par un épuisement chronique et des douleurs musculaires et articulaires diffuses, des troubles de la concentration et du sommeil.

Selon lui (voir article ci-dessous), ces symptômes pourraient être liés à la présence d'adjuvants aluminiques dans les vaccins destinés à les rendre plus efficaces. Chez une majorité de personnes, ces particules d'aluminium sont éliminées de l'organisme rapidement mais chez certaines, elles restent et s'accumulent jusqu'à migrer dans le cerveau au risque de devenir neurotoxique.
« Il existe sûrement une prédisposition génétique », estime Romain Ghérardi. A sa demande et celle de l'association E3M, qui regroupe des victimes de la myofasciite à macrophages, en décembre 2012, le ministère de la Santé a décidé de financer des recherches sur le lien entre ce trouble et les vaccins contenant de l'aluminium.
En attendant, l'association demande que le seul vaccin sans adjuvant aluminique, le DTPolio, soit remis sur le marché. Commercialisé  pendant plus de trente ans par Sanofi, sa distribution a été suspendue le 12 juin 2008 suite au signalement de 23 effets indésirables graves déclarés entre janvier et mai 2008 qui pourraient être attribués, selon l'Agence du médicament, à un lot.
Plus de 600 patients ayant une mmyofasciite à macrophages sont actuellement diagnostiqués. Un chiffre sous-évalué selon E3M  dont  plusieurs membres ont entamé une grève de la faim  le 5 juin dernier devant le ministère de la Santé. Une pétition circule aussi sur internet : http://www.change.org/VaccinsSansAluminium

 
Thomas, 32 ans, a été vacciné avec le Repevax (dTP + coqueluche) contenant de l'aluminium :
« J'ai été vacciné en octobre 2009 et les premières douleurs ont commencé en janvier 2010. Il s'agissait de douleurs de type brûlures dans les muscles, élancements dans les os et décharges électriques (les plus fortes douleurs, comparables à une sciatique mais dans tous les muscles). Les douleurs se situaient sur le côté droit de la poitrine, les avant-bras, l'épaule gauche (site de l'injection...) ainsi que la cuisse gauche. J'avais également de violents maux de tête. J'ai consulté en tout et pour tout et sur une période de 6 mois 2 généralistes, 3 neurologues et un rhumatologue. Je n'ai pas été cru durant 6 mois, mes douleurs étaient soi-disant inexistantes voire inventées... J'ai fait plusieurs scanners, Doppler, radio... sans jamais comprendre ce qui m'arrivait. Puis, finalement, une des généralistes m'a mis sous lyrica 75 mg 3 fois par jour et les douleurs se sont estompées. Elle a alors conclu à une fibromyalgie. Pour s'assurer qu'il s'agissait d'une myofasciite (2ème hypothèse), un électromyogramme sur tout le corps a été effectué au cabinet de la neurologue puis une biopsie a été effectuée à l'épaule gauche à l’hôpital de la Salpêtrière en juin 2010. La MFM a été confirmée. Je ne fais plus de sport car je ne peux plus. J'ai tous les deux-trois mois des périodes de flambée de mes symptômes et des périodes de rémission. Si je me porte partie civile, c'est que je suis père de deux enfants, que je fais vacciner mais je veux qu'ils puissent bénéficier de vaccins sans ce type de risques ; c'est aussi que je trouve anormal de ne pas être considéré, ni pris au sérieux pour mes symptômes ».


INFORMATION '' VIVA '' Par Brigitte Bègue [12-07-2013] 
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Marisol Touraine et Nicole Bricq renforcent la lutte contre les médicaments contrefaits

Marisol TOURAINE, ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Nicole BRICQ, ministre du Commerce extérieur, ont décidé de renforcer la coopération de leurs services pour mieux lutter contre les fraudes sur les produits de santé.

Dans ce cadre, et conformément aux orientations du contrat Etat – Filière des Industries et Technologies de Santé signé vendredi dernier, la Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) ont signé ce jour un protocole de coopération.

En 2012, les saisies de médicaments contrefaits en France se sont accrues de 45%. Ces contrefaçons sont dangereuses pour la santé des consommateurs. Elles peuvent contenir des principes actifs en surdosage, sous-dosage ou des substances toxiques. De plus, les contrefaçons représentent une menace pour nos entreprises et nos emplois.

Le protocole de collaboration entre l’ANSM et la Douane qui vient d’être signé renforce les échanges réciproques d’informations et facilite la transmission de renseignements opérationnels. Il porte également sur l’identification des produits de santé lors des contrôles douaniers et la réalisation de contrôles dans les laboratoires de l’ANSM. Il complète les différentes actions engagées dans le cadre de l’Observatoire des médicaments et du réseau Médifraude qui constituent des dispositifs de surveillance.

En complément, Marisol Touraine et Nicole Bricq ont décidé de lancer à l’automne une première campagne nationale d’information sur la vente de médicaments sur Internet. En effet, selon l’organisation mondiale de la santé (OMS), un médicament sur deux vendu sur Internet serait contrefait. C’est pourquoi, la France a choisi d’encadrer strictement le commerce électronique de médicaments.


Site du gouvernement - Le 8/07/2013
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Re: INFORMATIONS SANTE

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Le retour de la goutte: prévenir et traiter
Son nom évoque une maladie d’un autre temps, et pourtant… la goutte est aujourd’hui de plus en plus dépistée. Comment traiter la crise de goutte? Que faire en prévention Peut-on contrôler son taux d'acide urique? Enfin, faut-il modifier son alimentation?
600 000 personnes seraient concernées en France, cinq fois plus d’hommes que de femmes, les œstrogènes assurant un rôle protecteur jusqu’à la ménopause. L’âge moyen de la première crise est 63 ans mais il n’est pas rare que des quadragénaires soient atteints.
Deux facteurs clés favorisent son apparition: le premier est génétique (un cas sur trois), le second est lié à l’alimentation. Selon une étude américaine, les personnes obèses sont deux à trois fois plus touchées. L’alimentation de type "fast food" est montrée du doigt.............
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Re: INFORMATIONS SANTE

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Centres de santé: utilité reconnue, gestion à revoir (rapport Igas)

Les centres de santé, qui peuvent être communaux, associatifs ou mutualistes, ont une utilité sanitaire et sociale "réelle" mais ils sont "financièrement fragiles" et leur gestion doit être revue, selon un rapport de l'Igas publié vendredi.
Au nombre de 1.220, dotés d'une "forte identité (...) trouvant son origine dans une histoire de pionniers d'une médecine attentive aux exclus", sont communaux, associatifs ou mutualistes, rappelle le rapport commandé par la ministre de la Santé, Marisol Touraine.............


Par AFP le 26 juillet 2013
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Re: INFORMATIONS SANTE

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Qu'est-ce qu'un coup de chaleur ?

Il fait beau, il fait chaud, vous vous voyez déjà au soleil, en maillot... Mais méfiez vous, lorsqu’il fait très chaud, personne n’est à l’abri de se déshydrater, ce qu’on appelle souvent un coup de chaleur.

Ca se manifeste d’abord par une grande fatigue, des étourdissements, des nausées, des vomissements avec de la fièvre, et cela peut aller jusqu’à l’évanouissement et des convulsions.

Heureusement, on peut éviter les coups de chaleur en prenant quelques précautions. D’abord, évitez de sortir aux heures les plus chaudes, c’est à dire entre midi et 4 heures. A la place, faites une petite sieste, en plus, elle est réputée pour ses bienfaits sur la santé! Chez vous, pensez à garder le maximum de fraicheur à l’intérieur. Pour cela, c’est simple, il suffit de fermer les volets et les fenêtres le jour et de les ouvrir la nuit lorsqu’il fait plus frais.

Et si décidément, vous avez envie de vous balader, soyez malins : partez tôt le matin ou tard le soir, et préférez les sorties dans des endroits frais : cela peut être dans la forêt pour les adeptes de nature, ou dans un centre commercial climatisé pour les accros au shopping... chacun son style! Dans tous les cas, n’oubliez pas le chapeau, les lunettes, la crème solaire, et portez des vêtements amples et de couleur claire, vous aurez moins chaud!
Aussi, n’oubliez pas de vous hydrater un maximum : buvez régulièrement, même si vous n’avez pas très soif, mouillez vous le visage, le cou, les bras et les jambes avec un brumisateur ou un linge humide.

Enfin, sachez que les personnes les plus sujettes à la déshydratation sont les nourrissons et les personnes âgées. proposez donc des biberons d’eau toutes les demi heures aux plus petits, faites leur prendre des bains régulièrement. Pour les plus âgés, il faut aussi les inciter à boire très régulièrement, même s’ils n’ont pas soif. les mairies peuvent aussi aider les personnes âgées seules en leur apportant des aides à domicile: pour faire leur ménage ou leur porter leurs repas à domicile et surtout s’assurer qu’ils vont bien. voilà de bien chaleureux services pour lutter contre les effets de la canicule !

Information Mr Anthony BOURDAIN Public Santé
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