INFORMATIONS SOCIALES

Vous voulez un renseignement à ce FORUM est là pour vous répondre.

Modérateurs : Moderateur02, soniaC, Moderateur01, catm, EvelyneP

Règles du forum
Vous pouvez voir ici les règles strictes d'utilisation du FORUM...
Il est interdit de diffamer, d'insulter, de prôner la haine raciale et en résumé tout ce que le respect d'autrui devrait vous interdire !!
Merci de tenir compte de ces règles sous peine de banissement et d'interdiction temporaire puis définitive de ce forum...

En cas de spams massifs, vous pouvez adresser un message au webmestre via spams@parlonsdelapr.fr

Merci de votre compréhension et de votre soutien
Répondre
BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

INFORMATION

Message par BRIAND »

Dernière information de ''
BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

Information

Message par BRIAND »

Dernière information de '' AGEVILLAGE PRO '' que nous remercions vivement

Protection sociale : l’Elysée prévoit un sommet début 2008

Les partenaires sociaux sont conviés à l'Elysée le 19 décembre pour fixer conjointement avec l'exécutif l'agenda social des réformes prévues en 2008. Cette conférence tripartite ne portera que sur les sujets qui portent de près ou de loin sur le Code du travail. Au vu des nombreuses réformes sociales programmées, l’Elysée envisage une autre conférence en janvier pour traiter de la protection sociale. Cinq thèmes sont au menu.

Deuxième étape de la réforme des retraites, prise en charge de la dépendance (5e risque, Alzheimer), le financement de la protection sociale (TVA sociale, CSG, niches sociales...), politique familiale (renforcer la lutte contre la pauvreté) et l'assurance maladie (accès aux soins, partage entre régime obligatoire et régimes complémentaires, modernisation de l'hôpital, ALD et ARS), sont les thèmes prévus pour la conférence prévue en janvier, selon le quotidien « Les Echos » du 12 décembre. L'exécutif a discrètement commencé à tester les partenaires sociaux sur le sujet, rapporte le journal

FG
mis à jour le 17/12/2007

AVEC MES EXCUSES POUR CES DEUX ERREURS PRECEDENTES DE MA PART
BRIAND
PieretteM
Messages : 2294
Enregistré le : 01 janv. 2005, 13:35

Re: INFORMATIONS

Message par PieretteM »

LA RECUPERATION SUR SUCCESSION de L'APA PROMPTEMENT ENTERREE

15/12/07 - En examinant le projet de loi de finances 2008, le Sénat a voté le 10 décembre, à la surprise générale, un article additionnel présenté par Philipe Marini (UMP) et Jean Arthuis (UDF) sur l'Allocation personnalisée autonomie instaurant un "recours sur succession" qui a fait grand bruit dans les maisons de retraite. Le président de l'Ad-pa (association des directeurs d'établissements et services pour personnes âgées), Pascal Champvert, estimant même que ce vote était "une véritable provocation".

A la demande du gouvernement, qui souhaite que la prise en compte du patrimoine soit abordée lors de la mise en oeuvre du cinquième risque consacré à la dépendance, cette disposition a disparu du texte rédigé par la commission mixte paritaire du Sénat et de l'Assemblée nationale le 13 décembre. Le ministre des relations sociales, Xavier Bertrand, a été chargé de mettre en place une "cinquième branche de la protection sociale" et une mission vient d'être mis en place au Sénat afin d'étudier la "création du cinquième risque". La question du financement de ce nouveau risque n'a pas été tranché. L'équilibre entre les financements publics et la prévoyance individuelle ou collective, la prise en compte des niveaux de ressources et le niveau de participation des départements seront donc au coeur des débats de 2008. Un projet de loi sur la prise en charge des personnes dépendantes devrait être présenté "à la fin du premier semestre" 2008, vient de déclarer la secrétaire d'Etat chargée de la Solidarité Valérie Létard, dans une interview au Monde du 15 décembre.
En attendant, l'APA est victime de son succès. Alors que le nombre de bénéficiaires est en hausse constante (voir article suivant), l'Etat laisse chaque département faire face à l'explosion des dépenses (près de 4,3 milliards d’euros versés en 2006 par les conseils généraux pour financer les deux tiers de l'allocation, le reste étant pris en charge par l'Etat), ce qui entraîne des montants moyens versés fort différents d'un conseil général à l'autre. Il y a de plus une forte demande des familles de revalorisation de l'APA, de façon à permettre une meilleure prise en charge financière des situations de dépendance.
BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

INFOS

Message par BRIAND »

A RETENIR ............RENDEZ-VOUS DANS UN AN

2008, une année placée sous le signe de la solidarité
Le président de la République s’est rendu à l’hôpital Necker pour enfants malades, à Paris, le 24 décembre. L’occasion pour le chef de l’Etat de rappeler que "les moyens de l’hôpital" seraient l’une de ses priorités en 2008.
26-12-2007 18:31
BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

Message par BRIAND »

INFORMATION '' VIVA PRESSE '' QUE NOUS REMERCIONS


Avez vous droit à une aide (chèque santé) pour payer votre mutuelle ?


L’aide pour une complémentaire santé ou chèque santé, est une aide au financement de votre couverture maladie complémentaire. Elle s’adresse aux personnes dont les ressources sont supérieures, dans la limite de 20 %, au plafond d’attribution de la C.M.U. complémentaire. Autre avantage : la dispense d’avance de frais sur la part prise en charge par l’Assurance Maladie.


Trois conditions à remplir
• être en situation régulière

* Si vous êtes de nationalité étrangère, hors Espace économique européen (E.E.E.) et Suisse, vous devrez justifier que vous êtes en situation régulière au moyen de votre carte de séjour ou de tout document attestant que vous en avez fait la demande auprès de la préfecture : récépissé en cours de validité, convocation, rendez-vous en préfecture etc.

* Si vous êtes de nationalité étrangère, hors E.E.E. et Suisse, et en situation irrégulière, vous ne pouvez pas bénéficier de l’Aide pour une complémentaire santé. Vous pouvez, en revanche, demander à bénéficier de l’Aide médicale de l’État (A.M.E.).

• résider en France de façon stable depuis plus de trois mois

Vous pouvez justifier de votre résidence stable de plus de trois mois par les moyens suivants : trois quittances mensuelles successives de loyer, deux factures successives d’électricité, de gaz ou de téléphone, un bail signé de plus de trois mois, etc.

Les personnes sans domicile fixe, ou vivant dans un habitat mobile ou très précaire, doivent au préalable élire domicile auprès d’un Centre communal d’action sociale (C.C.A.S.) ou d’une association agréée, afin d’obtenir une attestation de domiciliation. Cette procédure est gratuite. Conditions de régularité et droit au séjour

• percevoir des ressources comprises entre le plafond d’attribution de la couverture maladie universelle (C.M.U.) complémentaire et 20 % au-delà, selon la composition de votre foyer.

Conditions de ressources
Pour avoir droit à l’aide, vos ressources annuelles doivent être comprises entre :

nombre de personnes
vivant au foyer
métropole DOM
1 entre 7 272 € et 8 727 € entre 8 094 € et 9 713 €
2 entre 10 908 € et 13 090€ entre 12 141 € et 14 569 €
3 entre 13 090 € et 15 708 € entre 14 569 € et 17 483 €
4 entre 15 271 € et 18 326 € entre 16 997 € et 20 396 €
5 entre 18 180 € et 21 816 € entre 20 235 € et 24 282 €
6 entre 21 089 € et 25 307 € entre 23 472 € et 28 167€
A ces sommes, il faut ajouter un forfait logement qui s’applique dès que vous disposez d’un logement, que vous soyez locataire, propriétaire ou logé à titre gracieux.

nombre de personnes
vivant au foyer
forfait logement annuel
1 623,64 €
2 1 247,16 €
3 ou plus 1 543,44 €
Le montant de l’aide
• 100 € par an pour les personnes âgées de moins de 25 ans

• 200 € par an par personne âgée de 25 à 59 ans

• 400 € par an pour les personnes âgées de 60 ans et plus

Comment faire sa demande
Il faut remplir un formulaire que l’on peut se procurer auprès de certaines associations, dans les hôpitaux, auprès de sa caisse primaire d’assurance maladie ou sur le site Intenet de l’assurance maladie : http://www.ameli.fr

Attention : il faut remplir un seul formulaire de demande par foyer. La demande d’aide pour une complémentaire santé concerne le demandeur, son conjoint ou son concubin ou son partenaire lié par un Pacte civil de solidarité (PACS), les enfants ou toute autre personne à charge de moins de 25 ans.

Une demande individuelle est possible pour :

* les conjoints séparés ;

* les enfants mineurs de plus de 16 ans ayant rompu leurs liens familiaux ;

* les enfants majeurs (entre 18 et 25 ans) ne vivant plus sous le même toit que leurs parents, ayant rempli une déclaration fiscale séparée (ou s’engageant sur l’honneur et par écrit à le faire l’année suivante) et ne percevant pas de pension alimentaire donnant lieu à déduction fiscale ;

* les enfants majeurs (entre 18 et 25 ans) vivant sous le même toit que leurs parents, s’ils sont eux-mêmes parents ou s’ils vont le devenir ;

* les mineurs de moins de 16 ans qui relèvent de l’Aide sociale à l’enfance (A.S.E.) ou de la Protection judiciaire de la jeunesse (P.J.J.) par l’intermédiaire de ces deux organismes.

Joignez les pièces justificatives suivantes ou leur photocopie lisible :

* un justificatif d’identité en cours de validité : votre pièce d’identité, passeport ou livret de famille mis à jour ;

* un justificatif de résidence stable en France : trois dernières quittances de loyer, ou votre bail de plus de trois mois, vos deux plus récentes factures d’électricité ou de téléphone, un certificat d’hébergement. Les personnes sans domicile fixe, en habitat mobile ou très précaire joindront une attestation de domiciliation établie par le Centre communal d’action sociale (C.C.A.S.) ou une association agréée ;

* si vous avez des personnes à charge : votre livret de famille mis à jour, une attestation de la qualité d’ayant droit, etc.

* si vous êtes déjà ou avez été inscrit à la Sécurité sociale : le numéro d’immatriculation figurant sur votre carte Vitale qu’il vous suffira de présenter à votre caisse d’Assurance Maladie ;

* si vous êtes de nationalité étrangère (hors Espace économique européen et Suisse), vous devrez fournir un justificatif de séjour régulier en France : votre titre de séjour ou, à défaut, tout document attestant du dépôt d’un dossier de demande de titre de séjour auprès de la préfecture (récépissé en cours de validité, convocation, rendez-vous en préfecture..) ; les justificatifs de vos revenus : avis d’imposition ou de non imposition, bulletins de paie, attestions Assedic, revenus perçus à l’étranger ou versés par une organisation internationale, même s’ils ne sont pas imposables en France, etc.

Questions - réponses
Pour formuler une demande d’aide complémentaire santé, faut-il avoir déjà choisi sa mutuelle ?

Non. Une fois le droit accordé, vous disposez de 6 mois pour choisir votre complémentaire . Vous êtes libre de choisir celle que vous voulez.

Une mutuelle peut-elle refuser mon adhésion ?

Non, sauf s’il s’agit d’une mutuelle réservée à un public particulier : cas de certaines mutuelles dont les statuts prévoient le type de population qu’elles sont autorisées à accueillir : fonctionnaires, types d’activités salariées, etc.

En dehors de ces règles d’ordre statutaire, les dispositions de l’article L.122-1 du code de la consommation interdisant les refus de vente ou de prestation de service s’appliquent dans le cadre du droit commun. En conséquence, il n’est pas possible pour un organisme complémentaire de refuser d’accueillir un bénéficiaire de l’aide complémentaire santé au motif par exemple de la lourdeur de gestion du dispositif, car cela s’analyserait bien comme un refus de prestations de services. L’aide complémentaire santé ne fait que donner un droit à réduction sur la prime ou la cotisation due.

Peut-on choisir librement son contrat ?

Oui. Une seule obligation : le contrat choisi doit être "responsable" selon les termes précisés par le décret n° 2005 - 1226 du 29 septembre 2005 (JO du 30 septembre, p. 15663).

C’est à dire qu’il ne peut par exemple rembourser les franchises médicales ou le forfait de 1 euro payé pour chaque consultation médicale. Il doit également prévoir au moins deux prestations de prévention.

Que se passe-t-il en cas de naissance ou d’adoption d’un enfant en cours d’année ?

L’arrivée d’un enfant mineur à charge dans le foyer, intervenue après le dépôt de la demande, ne peut être prise en compte dans l’attestation délivrée par la caisse d’assurance maladie puisqu’elle n’en avait pas connaissance. Cependant, l’enfant donne droit à l’aide complémentaire santé, donc à réduction sur la prime ou cotisation d’assurance complémentaire pour la période de droit restant à courir.

Il suffit de fournir à la mutuelle une pièce justificative (copie du livret de famille, de l’extrait d’acte de naissance ou de tout document attestant le rattachement de l’enfant comme ayant droit)

Que se passe-t-il en cas d’impayés de primes ou cotisations ?

La suspension du service des prestations entraîne la suspension du bénéfice de l’aide complémentaire santé pour l’organisme complémentaire. Si les primes ou cotisations sont à nouveau versées, l’aide complémentaire santé est rétablie.


[01.01.08]
Avatar du membre
jaibobola
Messages : 768
Enregistré le : 19 avr. 2007, 15:45
Contact :

chèques santé

Message par jaibobola »

Roselyne BACHELOT-NARQUIN, ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, a remis jeudi 3 janvier les premiers chèques santé à plusieurs assurés à la Garenne-Colombes. Ce chèque santé dont le montant peut aller de 100 à 400 euros est destiné à améliorer l’accès à une complémentaire santé pour les foyers les plus modestes. Son utilisation a été simplifiée puisque l’assuré qui reçoit un chèque santé visualise immédiatement le montant de l’aide dont il bénéficie et la seule démarche que l’assuré doit alors effectuer est d’envoyer ce chèque à la complémentaire santé de son choix pour bénéficier de l’aide.

Cette mesure concerne plus de 2 millions de bénéficiaires potentiels.

Pour en savoir plus :
Consultez le site améli.fr


Roselyne Bachelot-Narquin remet les premiers chèques santé

Image
Et toi TAMALOU ????? POLY-BISOUS

Image
Avatar du membre
jaibobola
Messages : 768
Enregistré le : 19 avr. 2007, 15:45
Contact :

Message par jaibobola »

Et toi TAMALOU ????? POLY-BISOUS

Image
BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

Message par BRIAND »

NI PAUVRE NI SOUMIS 29 MARS A PARIS


PERSONNE EN SITUATION
DE HANDICAP OU DE MALADIE INVALIDANTE :
L’URGENCE D’ UN REVENU D’EXISTENCE

PACTE INTERASSOCIATIF - PROJET

La situation est grave : des centaines de milliers de personnes en situation de handicap ou de maladie invalidante sont condamnées à vivre toute leur vie sous le seuil de pauvreté.

Cela fait des années que cela dure, tant d’années, trop d’années que nous dénonçons cette situation. La loi du 11 février 2005, en dépit de nos mobilisations n’a pas apporté de réponse à cette question des ressources.

Notre mobilisation inter associative et citoyenne, nous en sommes sûrs, y parviendra ! Parce que notre mission n’est pas de panser des plaies mais bien de défendre des droits !

Qui sont ces personnes dont nous parlons ? Et bien ce sont les personnes en situation de handicap ou atteintes d’une maladie invalidante, quel que soit leur âge, qu’elles vivent à domicile ou en établissement. Ce sont ces familles qui s’inquiètent de l’avenir de leur enfant, qui aimeraient leur offrir d’autres perspectives que celle d’une précarité et d’une insécurité financière toujours croissantes.

« Ni pauvre, ni soumis », c’est le projet d’une société qui n’exclut personne, c’est faire en sorte que les valeurs de solidarité, de participation, de non-discrimination, de respect et de dignité cessent d’être des mots, encore des mots, toujours des mots, rien que des mots dans le discours de nos politiques.

Ce que nous attendons d’eux, ce que nous exigeons d’eux, c’est qu’ils en viennent enfin aux actes !
BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

information Agevillagepro

Message par BRIAND »

information '' AGEVILLAGEPRO '' Qque nous remercions

Politique Vieillesse

Les dépenses d'aide sociale des départements en 2006 - Etude DREES

24,8 milliards d'euros (Métropole et DOM)

Les départements ont consacré 22,2 milliards d’euros à l'aide sociale aux personnes âgées, aux personnes handicapées, à l’enfance et aux dépenses liées au RMI. Les frais de personnel, les services communs et autres interventions sociales interviennent dans ces dépenses à hauteur de 2,6 milliards d’euros.

L'aide sociale destinée aux personnes âgées a représenté 5,3 milliards d’euros (+ 6 % par rapport à 2005) au bénéfice de 1 118 000 personnes et l’aide sociale en faveur des personnes handicapées a été de 3,9 milliards d’euros (+ 10% par rapport à 2005).

52% de l'aide aux personnes âgées est consacrée aux personnes vivant en établissement ou en famille d'accueil. l'APA compte pour 44% dans cette aide. En revanche les dépenses allouées à l'aide à domicile des personnes âgées, en augmentation de 5%, représentent 65% des dépenses totales d'APA. L'APA à domicile est en augmentation de 11% par rapport à l'année précédente. Les autres aides à domicile poursuivent leur dimiution (portage de repas, aide ménagère et autres)

La progression des dépenses liées à la prise en charge de la perte d'autonomie suit un rythme régulier (+6% depuis 2004). Ces dépenses ont été de 4,3 milliards d'euros en 2006 dont 4,2 milliards d'APA.

Lire l'étude DREES n°622 - janvier 2007 - Les dépenses d'aide sociale départementale en 2006

FG
mis à jour le 28/01/2008

BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

information

Message par BRIAND »

information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions

Le pouvoir d’achat des prestations et minima sociaux fond au fil des années

Mise en ligne : 22 janvier 2008

L’Ofce publie une étude intitulée « Les prestations et minima sociaux : la peau de chagrin ». L’auteur souligne que la revalorisation du début 2008 – 1,6 % pour le Rmi, 1,1 % pour le minimum vieillesse et 1 % pour les allocations familiales – est très basse (l’inflation a été de 2,6 % en 2007), et que cette baisse relative est en fait continue depuis des années.
Au fil des 10 dernières années, la Base mensuelle des allocations familiales (Bmaf) a perdu presque 2 % de pouvoir d’achat. En 2008, ce pouvoir d’achat des prestations est inférieur de 4,6 % à ce qu’il était en… 1984.

Par rapport au seuil de pauvreté – défini à 60 % du revenu médian, soit 681 euros par mois pour une personne seule en 2005 –, les allocations familiale ont perdu 24,5 % de leur valeur.
Le Rmi valait à sa création 34,9 % du revenu médian, il n’en vaut plus que 30 % et le minimum vieillesse est passé de 52 % du revenu médian (1984) à 42,5 %. Au point souligne l’étude, qu’il faudrait augmenter de 25 % le minimum vieillesse pour qu’il retrouve son niveau de 1984 !
Et Henri Sterdyniak, auteur de l’étude, d’interroger : « Certes, cette baisse est utile pour réduire la croissance des prestations sociales, pour réduire le déficit de la Sécurité sociale, mais est-elle socialement justifiée ? »
BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

Re: INFORMATIONS SOCIALES

Message par BRIAND »

information AGEVILLAGE que nous remercions

Marche vers l’Elysée le 29 mars : « ni pauvres, ni soumis »
9000 signatures

L'association des paralysés de France (APF) mobilise le monde du Handicap et propose une marche citoyenne et apolitique, le samedi 29 mars prochain, vers l'Elysée, pour remettre la signature d'une pétition "ni pauvres, ni soumis".

Les personnes handicapées et l'APF revendiquent un revenu d'existence décent, "égal au montant du Smic brut pour les personnes qui ne peuvent pas ou plus travailler".

Le GRATH s’associe à l'initiative et à la démarche de l'APF.

En savoir plus sur le mouvement "Ni pauvres ni soumis" http://www.nipauvrenisoumis.org
Pour signez la pétition en ligne, cliquez-ici (plus de 6000 signataires au 18 février 2008).

AdV
mis à jour le 25/02/2008
BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

Re: INFORMATIONS SOCIALES

Message par BRIAND »

Information VIVA PRESSE avec nos remerciements


Arrêts maladie : la Sécu délègue les contrôles aux sociétés privées
Mise en ligne : 22 février 2008

La Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) met en place le dispositif – annoncé dans la loi de financement de la Sécurité sociale 2008 – de lutte contre les « fraudes » aux arrêts de travail. A partir de la fin mars, elle commencera à suspendre les indemnités journalières de salariés en arrêt maladie en cas d’abus relevé par un médecin mandaté par l’employeur. Les expérimentations commenceront notamment à Paris, dans le Val-de-Marne, en Gironde, dans le Finistère et les Côtes-d’Armor.

Les employeurs peuvent aujourd’hui suspendre le complément d’indemnités qu’ils versent au salarié en arrêt de travail si le médecin qu’ils envoient estime qu’il y a abus. Désormais, les indemnités journalières versées par la Sécu pourront aussi être suspendues en cas d’avis « dévaforable » de ce médecin mandaté par l’employeur.
Ce qui revient à donner à un médecin délégué par une société privée la possibilité de faire en sorte qu’un salarié arrêté par son médecin traitant se voit supprimer toute indemnité maladie, sauf à saisir à son tour le service médical de sa caisse pour contester la suspension ! Comme garantie pour le patient, la Cnam affirme qu’elle va travailler avec l’Ordre des médecins sur le respect de la déontologie par les sociétés qui effectuent ces contre-visites.

La Fédération nationale des accidentés de la vie (Fnath) estime dans un communiqué qu’il s’agit de fait d’une « inacceptable privatisation du contrôle médical de la sécurité sociale ».
Elle estime que « les assurés sociaux et les victimes du travail sont « livrés », alors qu’ils ont cotisé pour leurs droits à des revenus de remplacements, aux médecins employés par les sociétés commerciales au lieu d’être examinés par les médecins du contrôle médical de la sécurité sociale ».

P.S. Le communiqué de la Fnath :
http://www.fnath.org/ ?action=presse
BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

Re: INFORMATIONS SOCIALES

Message par BRIAND »

Information VIVA PRESSE que nous remercions


« Hiérarchiser » les maladies chroniques : la réponse de l’AFD

Mise en ligne : 26 février 2008

« Choquée » par les propos tenus le 19 février dernier sur Canal+ par Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, à propos de la prise en charge des affections de longue durée (Ald), l’association française des diabétiques (Afd) vient de lui adresser une lettre ouverte.

La déclaration incriminée – « Il y a des maladies très graves comme le sida, le cancer, l’Alzheimer, puis il y aussi des maladies moins graves, le diabète, l’hypertension » – sous entendrait, selon l’Afd que toutes les maladies chroniques ne seront plus prises en charge à 100 % dans le cadre des réformes qui devraient voir le jour début 2009.

L’Afd a dénoncé une "hiérarchisation moralement et médicalement aberrantes" des maladies dont seules les « plus graves » seraient soutenues à l’avenir. Pour l’Association des diabétiques, cette décision entraînerait une rupture de la solidarité nationale mais aussi des conséquences médicales (mauvais suivi du traitement) et financières (des frais beaucoup plus importants pour la collectivité) négatives.

Florence Quentin

BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

Re: INFORMATIONS SOCIALES

Message par BRIAND »

INFORMATION SOCIALE

Les arrêts maladie injustifiés traqués par l'Assurance maladie

- L'Assurance maladie testera dès la fin mars des sanctions plus sévères concernant les arrêts maladie injustifiés, et ce dans une dizaine de départements, d'après une information rendue publique par le quotidien Le Figaro. Cette expérience, prévue par la Loi de financement de la Sécurité sociale pour 2008, se traduira par une suspension des indemnités journalières pour les employés responsables d'arrêts abusifs. Une généralisation du système pourrait survenir en 2010.

Amiens, Avignon, Carcassonne, Evreux, Nîmes, Reims, Vannes, et, pour les salariés du régime agricole, les Côtes-d'Armor, le Finistère, le Val-de-Marne et Paris, sont concernés par cette expérimentation.
[/size]
BRIAND
Messages : 12483
Enregistré le : 06 mai 2006, 12:38

Re: INFORMATIONS SOCIALES

Message par BRIAND »

Bonjour Julie
Nous comprenons votre colère et nous sommes tous dans ce cas.
Nous vous conseillons de nous rejoindre à Paris le 29 mars.
Vous demandez où écrire, voilà une bonne adresse :
A bientôt Julie et bon courage
Donnez-nous de vos nouvelles sur le forum.
Bien cordialement
BRIAND

Vous pouvez également écrire au Premier ministre par voie postale à l’adresse suivante :
M. Le Premier ministre
Hôtel de Matignon
57, rue de Varenne
75700 PARIS
Répondre